Confusion sur les décès par insuline dans les centres de soins pour bénéficiaires internes

Il y avait des indications que l’insuline aurait été utilisée, mais la recherche a montré qu’il n’y a pas d’insuline.

« L’enquête judiciaire est dans sa phase finale. Il n’y a pour l’instant aucune autre information faisant état d’une intention malveillante », a déclaré mardi après-midi Bruno Coppin, magistrat de presse du parquet du Limbourg.

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Communication déroutante

La ministre flamande Hilde Crevits, en plus des incidents signalés précédemment avec des décès suspects et des tentatives de meurtre dans des centres de soins résidentiels à Oostrozebeke et Hasselt a signalé un autre cas possible où une personne d’un centre de soins pour bénéficiaires internes serait décédée des suites de l’insuline. Il s’est avéré qu’il s’agissait d’une maison de repos à Halen, dont l’enquête est terminée.

Le dossier est actuellement devant le procureur de la République sur lequel une décision définitive n’a pas encore été prise.

Le parquet du Limbourg a également évoqué une enquête pénale en lien avec la chute d’un résident dans une autre maison de repos. « Pour chaque décès inhabituel, nous enquêtons sur la cause possible. C’est pourquoi une enquête a été ouverte et est toujours en cours », a déclaré le magistrat de presse Coppin. Il n’y aurait pas non plus d’intention malveillante dans ce cas.

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