Conclusion marquante de la série Climate Change Thinking

La série de conférences s’est terminée mercredi par un podium de premier ordre « Réflexion sur le changement climatique » dans les études générales de cette année. Les invités étaient le ministre de l’Environnement du Schleswig-Holstein, Jan Philipp Albrecht, Tina Andres, présidente de l’Association pour l’industrie alimentaire biologique, et Christian Berg, auteur, expert en développement durable et membre du Club de Rome. Commençant par les défis de la transformation sociale, la discussion a couvert tout l’éventail allant d’objectifs très spécifiques pour la tarification du CO2 à la question de savoir comment une politique de durabilité est possible. La crise climatique, a souligné Christian Berg, est aussi une crise sociale et Jan Philipp Albrecht a appelé tous les acteurs à aligner leurs actions sur les préoccupations écologiques. Tina Andres a mis l’accent sur la nécessaire transformation de l’agriculture, qui doit également aller de pair avec une éducation nutritionnelle complète. L’événement en ligne animé par Christoph Rehmann-Sutter a réuni plus de 100 participants.

Dans le de la Université de Lübeck en collaboration avec les Scientists For Future HL, les Fridays For Future HL et l’Université des sciences appliquées de Lübeck, des scientifiques renommés issus d’un large éventail de disciplines ont mis en lumière la crise climatique et ses effets. Surtout, elle a montré une chose : la crise climatique ne peut être surmontée sans un profond changement social et culturel.

Norbert Reintjes, professeur et représentant du TH Lübeck dans le cadre du projet : « La série a souligné que la crise climatique et de la durabilité n’est pas seulement un problème pour les scientifiques et les ingénieurs. Au contraire, les différentes disciplines scientifiques doivent stimuler et soutenir une discussion sociale holistique.

Birgit Stammberger de l’équipe du projet : « Lorsque nous parlons de la crise climatique – cela a été clairement montré par l’événement -, il faut inclure les questions d’inégalités sociales et de genre, ainsi que les perspectives postcoloniales. Le potentiel de ces approches nécessite la création de nombreux espaces sociaux de discussion et d’action.



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