Comment rendre les zones industrielles plus durables ? Le Brabant lui alloue 250 000

Les entreprises qui ont besoin de beaucoup d’énergie ou qui produisent beaucoup de chaleur résiduelle. Nous en avons assez sur les zones industrielles du Brabant. En examinant plus intelligemment qui a besoin de quoi et ce qui ne l’est pas, ces zones industrielles devraient pouvoir devenir beaucoup plus durables. La province du Brabant accorde plus de 250 000 euros de subvention à l’organisation d’entrepreneurs VNO-NCW Brabant-Zeeland pour cartographier cela.

Le Brabant du Nord compte plus de 600 parcs d’activités. La province, en collaboration avec les municipalités et les entreprises elles-mêmes, veut s’attaquer le plus rapidement possible à 13 d’entre elles. Les entreprises de ces régions sont à l’origine de fortes consommations d’énergie et de matériaux. Ensemble, ces entreprises représentent 65 % de la consommation d’énergie de toutes les zones industrielles du Brabant.

Commencez dans 4 parcs d’activités
Avec la subvention de la province, VNO-NCW Brabant-Zeeland commencera dans les quatre zones industrielles où beaucoup de bénéfices peuvent être réalisés en relativement peu de temps. Cela concerne la zone portuaire et industrielle Moerdijk et les zones industrielles Vosdonk à Etten-Leur, De Dubbelen/Amert à Veghel et De Hurk à Eindhoven.

Robert Jan ter Morsche est directeur de la société Ardagh. L’une des trois succursales du Brabant est située dans la zone industrielle de Moerdijk. Des matériaux d’emballage en verre y sont fabriqués pour l’industrie alimentaire et des boissons. « Nous avons une entreprise très énergivore. Nous aimerions fonctionner entièrement à l’énergie verte, mais nous devons pouvoir l’acheter. Nous devons donc chercher des alternatives. »

Une meilleure coopération
Le président du VNO-NCW, Eric van Schagen, espère qu’une meilleure coopération pourra apporter des solutions. « Les parcs d’activités sont grands. Vous connaissez peut-être votre voisin, mais après ça se termine souvent. Donc on ne sait pas qui produit quoi et qui a besoin de quoi, par exemple de l’énergie. »

La rareté sur le net joue également un rôle à cet égard. Il est souvent difficile de restituer beaucoup d’énergie lors d’une journée ensoleillée. Cela peut alors être une solution pour transférer l’énergie inutilisée à une entreprise du même parc d’activités qui pourra en faire bon usage. « Nous devons également examiner le stockage de l’énergie. Dans les batteries, par exemple. Nous devons également organiser cela conjointement pour chaque parc d’activités. Cela nécessite un effort commun », déclare Van Schagen.

Prêts pour l’avenir
Il souligne que l’argent de la province n’est qu’une fraction de ce qui est nécessaire. « Nous espérons que les municipalités voient également le besoin et veulent contribuer. Il ne faut pas oublier que les entreprises elles-mêmes doivent investir plusieurs fois ce montant pour être prêtes pour l’avenir. »

« En tant que province, on peut vouloir beaucoup, mais ce sont les entreprises des régions qui doivent le faire », explique le député Erik Ronnes. « Nous sommes très satisfaits du fait que VNO-NCW va ouvrir la voie dans les quatre premiers parcs d’activités. Les entreprises ont souvent besoin d’un coup de pouce supplémentaire pour commencer à se parler. C’est un bon début. »

13 Grands Sites de Récolte en Brabant
Au total, le projet Grote Oogst concerne, outre les quatre sites mentionnés ci-dessus, Moleneind à Oss et De Rietvelden à ‘s Hertogenbosch (Nord-Brabant). En outre, Hoogeind / BZOB à Helmond et Ekkersrijt à Son en Breugel (Brabant du Sud-Est). En outre, Kraaiven / Vossenberg à Tilburg, Haven à Waalwijk et Loven à Tilburg (Moyen-Brabant). Et enfin, Vijf Eiken à Oosterhout et Theodorushaven à Bergen op Zoom (Brabant occidental).



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