Comment les abus dans les services d’aide à la jeunesse restent secrets : « Ils ont dit que je n’aurais pas dû m’enfuir »

Les mineurs placés en placement ne peuvent pas toujours signaler ou dénoncer des abus sexuels. Et les éducateurs ne coopèrent pas non plus, comme l’a également découvert Madelief (21 ans). Elle a été maltraitée, mais le même jour, les preuves, le cas échéant, ont été effacées. Ce site reconstitue son cas et s’adresse aux avocats. « Blâmer la victime est un phénomène qui date des années 1950, mais qui persiste. »



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