Comment la retenue à la source ne devient plus un fardeau pour les investisseurs


L’un de ces obstacles, par exemple, est le formulaire de demande qui doit être soumis à l’autorité fiscale étrangère. Comme c’est souvent le cas, il n’y a pas de standardisation au niveau international. En d’autres termes, chaque pays a son propre formulaire, certains dans la langue locale et comprenant des exigences individuelles et des délais à respecter. Par conséquent, les investisseurs sont confrontés au problème de disposer dès le départ des connaissances spécialisées nécessaires pour pouvoir faire une telle demande. Et même pour ceux qui connaissent les processus, faire de telles applications est toujours un fardeau. Car, entre autres, à cause des documents requis qui doivent être joints à une telle demande, il y a rapidement une véritable montagne de papier. Quiconque détient désormais un portefeuille largement diversifié à l’échelle internationale et donc plusieurs titres dans différents pays fait face à un effort bureaucratique que la plupart ne jugent pas utile. Et cela, bien qu’ils aient légalement droit à la récupération.



ttn-fr-28