Le COA a pour objectif de disperser le groupe de voyageurs intrusifs du centre pour demandeurs d’asile de Ter Apel vers d’autres localités des Pays-Bas d’ici janvier. Le groupe actuel d’environ 150 personnes deviendra ainsi beaucoup plus petit. Les nuisances causées par ce groupe à Ter Apel (Westerwolde) et Nieuw-Weerdinge (Emmen) devraient donc diminuer. La commune d’Emmen elle-même espère également avoir augmenté le nombre de bus de rue et de boas à Nieuw-Weerdinge d’ici Noël.
Le maire Eric van Oosterhout a annoncé cette nouvelle lors de la réunion budgétaire de la commune d’Emmen.
Plusieurs factions ont demandé un déploiement accru de policiers et de policiers militaires. L’espoir visait la création d’un refuge spécial dans le centre pour demandeurs d’asile de Ter Apel. Ces atterrisseurs sûrs seraient renvoyés plus rapidement vers leur pays d’origine via ce que l’on appelle le Process Disponibilité Location (PBL). Cependant, sa réalisation a pris du temps.
« Cela est dû en partie à la capacité du personnel du centre pour demandeurs d’asile », a expliqué Van Oosterhout. Très ennuyeux, car le nombre d’incidents semble augmenter plutôt que diminuer, selon le maire. En outre, la coopération entre les boas, les coachs de rue, la police et les surveillants n’est pas toujours bien coordonnée, a-t-il encore signalé.
D’autre part, Van Oosterhout a pu signaler que COA travaillerait à la distribution des Safelanders vers d’autres endroits aux Pays-Bas. L’avertissement sur les bénéfices est que les autres communes doivent coopérer. Le maire s’attend à ce que le COA présente un plan de distribution d’ici janvier.
La commune d’Emmen elle-même prévoit d’augmenter le nombre de boas et de tramways. Dans le premier cas, cela implique huit forces supplémentaires. « En ce qui concerne les boas, cela prend du temps. La formation dure huit à douze semaines et ils doivent encore prêter serment. » Lors de la dernière conversation avec le gouvernement, Van Oosterhout s’est vu promettre que de véritables travaux étaient désormais en cours sur le PBL. « Voyez d’abord, puis croyez », a déclaré le maire.
La majorité des groupes ont insisté pour que la municipalité de La Haye demande davantage de soutien à la police et à la police militaire. Van Oosterhout est en discussion avec ce dernier. « Mais ne vous attendez pas à un grand nombre de participants. Mais la pression est là. »
Le président du groupe, Leo Hoogenberg de Wakker Emmen, estime que l’alarme a été lancée depuis longtemps sans qu’aucun résultat concret n’ait été obtenu. « Ces derniers mois, le secrétaire d’État Eric van der Burg s’est rendu à plusieurs reprises à Nieuw-Weerdinge et à Ter Apel, mais ces visites et les mesures qui en ont résulté n’ont eu que peu ou pas d’effet. »
Selon lui, les ressources actuelles de la municipalité elle-même (bus de rue et surveillance élargie) sont insuffisantes. Le maire Eric van Oosterhout a donc été invité à exhorter le gouvernement à faire circuler davantage de bleus dans les rues. Une motion a donc été déposée avec le PvdA, le PVV, le VVD, le SP et 50PLUS.