Plus de 9 000 agriculteurs se sont fait calculer depuis lundi s’ils relevaient d’un régime pour les chargeurs de pointe. C’est ce qu’a déclaré vendredi la ministre de l’azote, Christianne van der Wal.
Sur le site du soi-disant Chèque Aéroius les agriculteurs peuvent saisir leurs données actuelles, après quoi une calculatrice spéciale commencera à les utiliser. De cette façon, les agriculteurs découvrent s’ils sont des pics de charge et s’ils peuvent utiliser l’« approche de la charge de pointe ». Ils peuvent alors choisir d’innover, de déménager ou d’arrêter en échange d’une compensation.
Arrangement « sauvagement attrayant »
Le ministre Van der Wal nie qu’il y ait peu d’enthousiasme pour un règlement. Elle s’adresse aux entrepreneurs qui ne veulent pas s’arrêter, mais aussi qui veulent s’arrêter. « Il existe également d’autres possibilités, par exemple pour innover, pour accroître la durabilité ou pour délocaliser l’entreprise. »
Selon elle, les provinces indiquent aussi qu’il y a des agriculteurs qui veulent arrêter volontairement et qu’il y en a des listes. Le cabinet a mis au point ce qu’il dit être un programme « profondément attrayant » qui donne aux agriculteurs qui veulent arrêter l’agriculture à court terme 120 % de la valeur de leur ferme.
Anonyme
Van der Wal est déçu que certaines organisations découragent les agriculteurs d’utiliser le Chèque Aéroius car ce ne serait pas anonyme. « C’est dommage que cela soit jeté dans le monde. Ce n’est pas vrai. Les données ne restent que les vôtres, nous ne les stockons pas et nous n’en faisons rien. C’est lutter contre les ruines de l’imagerie. »