Champs synthétiques, la dissidence grandit. Mais les spécialistes : "Différences minimisées avec le gazon naturel"

Mourinho est le dernier par ordre chronologique à se plaindre, mais les initiés se défendent : « Il ne faut pas comparer les terrains d’aujourd’hui à ceux d’il y a des années. Il n’y a pas de corrélation avec les blessures ». La situation en Italie et à l’étranger

José Mourinho n’est que le dernier d’une longue liste. A toutes les latitudes, les personnalités du football qui se sont fortement prononcées contre les terrains en gazon artificiel sont nombreuses. « Ça devient un autre sport » selon l’entraîneur, qui abordait la question à la veille de Bodø/Glimt-Roma, avec les Giallorossi sortis puis de nouveau vaincus.



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