Le secrétariat de la CGIL revient à neuf, avec quatre nouvelles entrées et trois sorties : avec le feu vert de l’assemblée générale du syndicat, la (devenue ancienne) dirigeante de la Fiom, Francesca Re David, est entrée (en parallèle les salopettes bleues ont élu leur nouveau secrétaire général, Michele De Palma) et trois secrétaires généraux régionaux : Luigi Giove (Émilie-Romagne), Daniela Barbaresi (Marches) et Christian Ferrari (Vénétie). Au lieu de cela, Rossana Dettori, Ivana Galli et Roberto Ghiselli sont sortis (en pole vers l’INPS Civ, où l’actuel président Guglielmo Loy est sur le point d’expirer).
Le nouveau secrétariat proposé par Maurizio Landini a obtenu 185 voix pour, 34 contre et 18 abstentions de l’assemblée de la CGIL. Parmi les entrées il y a, en effet, celle du roi David devenu secrétaire général de la Fiom avec le passage de Landini en 2017 à la tête de la CGIL.
Quatre femmes sur 9 membres
Avec ces inscriptions, le secrétariat confédéral du Corso d’Italia revient à 9 membres – dont 4 femmes -, le même nombre que lors du dernier congrès à Bari, puis est tombé à huit car en 2020 l’ancien secrétaire général adjoint n’a jamais été remplacé Vincenzo Colla , devenu conseiller du développement économique et du travail de l’Émilie-Romagne.
Voyons quels sujets les 9 membres du secrétariat vont aborder. Dans l’attribution des procurations, le secrétaire général Maurizio Landini il maintient la représentation des organisations et les relations institutionnelles, les stratégies contractuelles incluant les politiques culturelles, le développement durable et l’emploi stable, les politiques européennes et internationales, la communication, la formation syndicale, les politiques de genre.
L’organisation attribuée à Luigi Giove
Une délégation “lourde”, celle de l’organisation a été attribuée à Luigi Jupiter, qui traitera des politiques de gestion, des adhésions, des services, de la transformation numérique, des ressources et des politiques budgétaires. Il ne reste qu’un seul secrétaire général adjoint, Gianna Fracassiqui continue de traiter le domaine des politiques de développement, c’est-à-dire les politiques économiques (y compris l’UE de nouvelle génération), le climat et l’environnement, la transformation verte, les politiques fiscales, le plan de travail et la négociation territoriale pour le développement, les politiques de reconstruction (tremblement de terre), l’aménagement urbain et de l’habitat, les services et le tertiaire, et du bureau de projet « l’union dans la nouvelle révolution 4.0.