Cette année encore 1367 ormes malades abattus à Hollands Kroon, Iepenwacht vient à la rescousse

Chaque année, cela se reproduit lors de la vérification des ormes, des ormes malades, mais j’espère que ce sera pour la dernière fois. L’Iepenwacht de la Frise vient en aide aux communes du Noordkop. Les arbres seront à nouveau abattus cette année, mais l’espoir est que cela ne sera plus nécessaire dans quelques années. Après le nombre fulgurant de l’an dernier – 1 573 ormes malades – il y a 1 367 arbres qui ne survivront pas au contrôle cette année.

Municipalité de Hollands Kroon

Pour faire face à ce problème récurrent, la commune de Hollands Kroon, en collaboration avec Den Helder et Texel, a fait appel à la Iepenwacht Fryslân Foundation (SIF). L’organisation a été fondée en 2005 et est un collectif qui a maîtrisé la maladie hollandaise de l’orme en Frise.

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Et ils devraient faire la même chose dans le Noordkop. Du moins, si le projet démarre réellement. « Nous attendons toujours de pouvoir commencer », déclare Gauke Dam, chef de projet de l’Iepenwacht. La municipalité signale qu’elle veut résoudre le problème avec eux. Et ce n’est pas surprenant, car le SIF a réussi à réduire la maladie hollandaise de l’orme en Frise de 10 % du stock d’ormes à la valeur cible de 1 % en cinq ans.

« Ça ne marche pas si chacun fait son truc »

Barrage de Gauke, chef de projet elm guard

Selon Dam, cela nécessite principalement une coopération : « Les municipalités, les offices des eaux, la marine et d’autres organisations possédant des terres avec de nombreux ormes doivent lutter contre la maladie en tant que collectif. Cela ne fonctionne pas si chacun fait son propre truc ». Dam explique que si une municipalité agit, le problème n’est pas résolu, « car la maladie se propage très rapidement ».

La situation à Hollands Kroon nécessite une approche rapide. « C’est aussi mauvais là-bas que lorsque nous venons de lancer le projet en Frise », déclare Dam. Il espère donc un résultat tout aussi bon.

Approcher

Le SIF souhaite accompagner les communes sur une durée de cinq à six ans. « Au cours des deux à trois prochaines années, tous les arbres malades devront être abattus, puis la replantation pourra commencer. » Mais le plus important reste la collaboration, « lorsqu’elle est complète, on peut alors se retirer ».

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