Recherché par Rui Costa contre l’opinion populaire qui réclamait un entraîneur portugais, l’Allemand a fusionné sa philosophie avec la tradition locale et l’équipe vole désormais.
En regardant Benfica-Juventus en octobre dernier, il semblait que Roger Schmidt était assis sur le banc des Lusitaniens depuis un an et demi et Massimiliano Allegri sur celui des noirs et blancs depuis trois mois. C’était plutôt le contraire, et cette impression est utile pour donner une idée de l’impact qu’a eu l’entraîneur allemand à Lisbonne.