Pekka Mervola, le rédacteur en chef de Keskisuomalainen, a suscité de nombreuses discussions sur Twitter.

Pekka Mervola ne considère pas le sujet important pour le débat social.

Pekka Mervola ne considère pas le sujet important pour le débat social. IL ARCHIVE

Une chronique publiée en Finlande centrale Une image finlandaise de la Saint-Jean peut-elle être harcelante ? a donné lieu à un vif débat autour de lui. Également mentionné dans le texte Anne Kukkohovi commentaires à Iltalehti.

Texte rédigé par Pekka Mervola dit à Iltalehti qu’il n’y avait aucune raison particulière de mentionner les femmes en question.

– Peut-être que lorsqu’une personne a un médecin et une éducation raisonnablement bonne, ainsi qu’un milieu social, c’était peut-être un choix tellement logique.

Il ajoute qu’il ne suit pas sur les réseaux sociaux les femmes qu’il mentionne dans ses écrits. Dans sa chronique, il a déclaré que les profils lui apparaissaient comme une suggestion de suivi. Il n’a pas commenté pourquoi l’algorithme lui proposait des individus.

– J’ai regardé leurs pages, ajoute-t-il brièvement.

Mervola ajoute qu’il n’a pas introduit d’exemple masculin dans l’écriture, car le texte en question visait à examiner la question de ce point de vue.

– Cette chronique a traité cette question sous cet angle et un autre puis sous un autre angle.

Lui-même n’a pas vécu les images comme du harcèlement sexuel.

– Je n’ai pas vécu les images en tant que telles dans ce contexte. Mais bien sûr, quelqu’un peut en faire l’expérience. C’était plus une réflexion sur ce que pourrait être le harcèlement et aussi une réflexion sur la façon dont le harcèlement est défini par quiconque en est victime, ajoute Mervola.

Mervola, qui s’appuie sur ses propres perspectives dans ses écrits, ajoute que les colonnes sont destinées à provoquer un débat social.

– Je ne pense pas que cela ait ouvert un débat important. J’ai souligné au début qu’il s’agit d’une colonne légère du solstice d’été. C’était un sujet très léger et pas un sujet de discussion particulièrement important sur le plan social.

Twitter fait le buzz

Surtout sur Twitter, le sujet a fait grand bruit autour de lui. Des dizaines d’utilisateurs ont partagé la colonne Mervola avec différents avant-propos.

– Le cerveau fond. Et pas à propos de la chaleur, a écrit la présentatrice et mannequin Lola Odusoga.

Un auteur a également critiqué durement la chronique de Mervola.

– Le fait qu’une femme ait des seins n’est en aucun cas un harcèlement, mais une chose tout à fait naturelle, écrit-elle.

Vous pouvez également regarder l’intégration d’ici.

– J’espère que Mervola n’ira jamais sur une plage publique. Je tirerais toujours un cœur de cette « farce », a écrit un tweeter.

L’encastrement est également visible de ce lien.

Assistant spécial du ministre des Finances Silja Silvasti a également écrit sur Twitter comment apprécier la réflexion ouverte de l’auteur.

– Sur la question de savoir s’il aurait été utile d’écrire le texte du tout.

Voir intégration d’ici.



ttn-fr-50