Ces trois princes du carnaval travaillent dans la même entreprise : « C’est dans l’ADN ici »


On pourrait en faire l’expérience au travail : trois collègues élus simultanément prince du carnaval cette année. C’est probablement une polonaise quotidienne sur le lieu de travail. Eh bien, René et Jan savent tout. Ils ont été rebaptisés Prince Carnaval, chacun dans sa propre ville. Et cela crée un lien : « Nous nous saluons tous les jours avec un ‘bonjour, Votre Altesse’ et nous nous serrons la main. Nous continuerons ainsi jusqu’au carnaval. »

Photo du profil de Eva de Schipper

Boy Joosten a été choisi comme prince du carnaval de Kaauw Voetenland, ou Lierop. Son collègue René van Boxtel est le prince Renaldo de Schoenlapperslaand (Waalwijk) et Jan Eijsermans peut se faire appeler le prince Jean III de Kruikenstad (Tilburg).

Tous les trois ont été invités des mois à l’avance à devenir des princes du carnaval. Boy et René sont vite devenus un peu trop discrets sur leur lieu de travail, ce qui fait que tous les collègues savaient très tôt qu’ils domineraient leur royaume du carnaval.

« Mais je devais vraiment me taire plus longtemps, si mes collègues ici le savaient, alors tout Kruikenstad saurait que ce serait moi », déclare Jan Eijsermans dans le café de son lieu de travail Schrobbelèr à Tilburg.

« Que vous réserve le week-end, comment ça s’est passé et dans quelle mesure êtes-vous en forme ? »

Là, dans ce café, ils ont récemment célébré ce joyeux fait avec leurs clubs de carnaval et leur entourage. Garçon : « Nous avons célébré ensemble la fraternisation du carnaval en direct ici, ce qui était vraiment amusant. »

Les trois parlent souvent de leur tâche importante. Ils échangent des conseils et se tiennent informés des hauts et des bas de leur propre royaume. « Surtout en début et en fin de semaine. Que vous réserve le week-end, comment ça s’est passé et comment êtes-vous en forme ? », rit le garçon à la voix rauque qui a déjà passé pas mal d’heures de carnaval .

Comment se passe la vie quotidienne sur le lieu de travail ? Polonaise et serpentines dans l’air toute la journée ? Le café sur place peut paraître carnavalesque, mais René est terre-à-terre. « Il suffit de travailler et d’apporter le produit à l’homme ou à la femme. »

« Quand nous nous sommes rencontrés tous les trois pour la première fois, c’était quelque chose que nous n’oublierons jamais. »

Mais il pense que la situation est vraiment très particulière. « Cela ressemble à un film dans lequel nous sommes. Quand j’ai entendu que Jan était également devenu prince, c’était fantastique, la cerise sur le gâteau. Et quand nous nous sommes rencontrés tous les trois pour la première fois, quelque chose que nous n’oublierons jamais. »

Y a-t-il une explication au fait que pas moins de trois éminences travaillent à cette adresse ? Selon Jan, le carnaval est dans l’ADN de l’entreprise. « Presque tous les collègues qui se promènent ici sont de fervents fêtards du carnaval. Pendant le carnaval, il n’y en a qu’un qui ne fait pas la fête, mais les autres sont sur la route. C’est donc un peu un ABC. »

Ce sont des périodes chargées pour tous les trois. Jan, directeur commercial de l’entreprise et également chanteur du célèbre groupe carnavalesque Veul Gère, a une idée de la façon dont ces trois-là se comportent pendant le carnaval. « Permettez-moi de le dire de cette façon, un verre de temps en temps fait des merveilles. »

Grande fête à Schrobbelèr avec trois princes du carnaval aux commandes (photo : LensB Photography).
Grande fête à Schrobbelèr avec trois princes du carnaval aux commandes (photo : LensB Photography).



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