Ces boulangers ont déjà quitté notre province, les boulangeries disparaissent-elles de nos rues ?

De plus en plus de boulangeries éteignent les fours. Cela est généralement dû aux prix élevés de l’énergie et des matières premières, mais la pression de travail élevée est également une raison courante d’arrêter. Dans notre province, nous avons déjà dû dire au revoir à plusieurs grandes entreprises. Nous en énumérons cinq.

Bien qu’un coup d’œil à l’actualité suggère que les boulangers se succèdent, les chiffres de la Chambre de commerce montrent que le nombre de boulangers augmente. Cela contredit cette présomption. Marie-Hélène Zengerink de l’Association néerlandaise des boulangers-pâtissiers (NBOV) explique que les boulangeries « à l’ancienne » disparaissent définitivement : « La forme classique disparaît. On voit qu’il y a de plus en plus de petits boulangers amateurs qui travaillent à domicile. Ce sont, selon ces chiffres, des boulangers aussi, mais ce ne sont pas les boulangeries classiques que nous connaissons. »

Cette famille Schoorl a fait du pain pendant 130 ans. Le 1er mars arrive officiellement pour toute cette cuisson et ce pétrissage une fin. Les propriétaires actuels, Paul et Rik Bakker, débranchent leur machine à pain car « les prix ont augmenté de 80 % ». Les magasins ferment non seulement à Schoorl, mais aussi à Groet et Noord-Scharwoude.

Les prix ont également augmenté du four boulangerie Jonker la raison de la fermeture des portes. 7 succursales à Alkmaar, Purmerend, Schagen, Broek op Langedijk, Zuid-Scharwoude et deux à Heerhugowaard ferment définitivement leurs portes. « Quelque chose qu’il était impossible de croire s’est produit », écrivent les propriétaires Ed et Gaby sur leur site de boutique en ligne (maintenant fermé).

Non pas à cause des prix élevés, mais à cause d’une décision mûrement réfléchie, après 102 ans, les portes de cette boulangerie à Bussum s’ouvriront également fermé. Les merveilleuses créations en massepain de Baker Marc sont à ne pas manquer, mais il était temps de s’arrêter. « Je n’étais libre que trois jours par an, la pression de travail était élevée », explique Van Breemen.

La crise énergétique n’affecte pas Zwaag, et Bakery Besseling de fait de même en combinaison avec des prix élevés des matières premières fermer les portes. Ils sont là pour leurs clients depuis 25 ans. Les réactions des clients montrent que le duo de boulangers va nous manquer : « Tu viens d’appartenir à Zwaag », fait partie des centaines de réactions.

Hoogwoud en est un concept plus pauvre. Après 30 ans, la crise a également tué cette boulangerie. Hans et Loes Baas se souviennent d’un grand moment : « Nous avons pu vivre ici trente années fantastiques avec de nombreux moments spéciaux. Nous avons apprécié chaque jour, quel merveilleux métier nous avons. »



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