Celui qui a attaqué Gimondi ne mérite pas d’être un manager cycliste

Plus les détails du dernier conseil fédéral qui a conduit à la démission de Norma Gimondi sortent, plus la tempête du cyclisme fédéral ressemble à une tempête dans laquelle quelqu’un a perdu la boussole.

De mal en pis. Plus les détails du dernier conseil fédéral qui a conduit à la démission de Norma Gimondi sortent, plus la tempête du cyclisme fédéral ressemble à une tempête dans laquelle quelqu’un a perdu la boussole. Les travaux de ce conseil du samedi 27 août ont été suspendus car ils ont été signalés sur le même site Web qui présentait des pièces à conviction aux procureurs de Milan, Padoue, Rome et Vicence. Quelque chose de paradoxal et bouffon, qui n’a cependant pas détourné notre attention de ce qui s’était passé juste avant, lorsque Norma Gimondi, la vice-présidente, avait été durement attaquée par l’un des réalisateurs. La fille du grand Felice, avocat avec une passion incommensurable pour le cyclisme et la même fierté intense du père légendaire, s’est sentie blessée et a quitté le conseil en larmes, suivie du président Cordiano Dagnoni et du secrétaire général Marcello Tolu, qui ont cherché à calmez-la et ramenez-la dans la chambre.



ttn-fr-4