RÉ.nous avons dû passer 92 ans avant de voir dans l’histoire de la Coupe du mondeprévu dans Qatar du 21 novembre au 18 décembre, pas un, mais bon trois femmes arbitres dans la liste des directeurs de match d’une compétition de ce niveau.
Trois femmes arbitres et juges de touche à la Coupe du monde du Qatar
Le français Stéphanie Frappartle Rwandais Salima Mukansanga et les japonais Yoshimi Yamashita ont été sélectionnés avec autant de juges de touche, le Brésilien Neuza Retourle Mexicain Karen Diaz Medina et l’américain Catherine Nesbitt.
Collina : “Grande compétence, ils méritent d’y rester”
“Pour nous, la qualité et non le sexe compte» a commenté le président de la commission des arbitres de la FIFA, Pierluigi Collina. « J’espère qu’à l’avenir la sélection des arbitres féminins pour les compétitions masculines importantes, est perçu comme quelque chose de normal et non plus aussi sensationnel. Ils méritent d’être à la Coupe du monde car ils performent constamment à un très haut niveau, et c’est le facteur important pour nous ».
Dans le domaine Frappart, Mukansanga et Yamashita
Le FFrancese Frappart, celui qui a le plus d’expérience internationale. Elle a été la première femme à arbitrer un match de Ligue des champions.
Mais il a aussi pris en charge quelques matches en Ligue 1 messieurs, en Supercoupe d’Europe (août 2019) et dans la finbière de la Coupe de France (7 mai). Elle est considérée comme l’une des plus éligibles pour diriger un match au Qatar.
En ce qui concerne la Mukansanga rwandais est devenue la première femme à arbitrer un match de la Coupe d’Afrique des Nations plus tôt cette année, tandis que la Yamashita japonais elle a été la première femme arbitre à diriger un match de Ligue des champions asiatique.
Le “mouvement” des arbitres contre les stéréotypes et les discriminations
Le le mouvement des arbitres poursuit sa montée en panne, jour après jour, stéréotypes et discrimination.
Car, comme Roberto Rosetti, président de la Commission des arbitres de l’UEFA l’a déclaré il y a quelque temps, “ces femmes méritent des éloges pour leur travail acharné et leur dévouement qui les a amenés à ce niveau. La présence des directeurs de course dans les compétitions masculines ne devrait plus surprendre. Dans les dernières années, L’UEFA a travaillé dur pour former des arbitres européens des deux sexes de manière égale. Ce que nous voyons aujourd’hui est la preuve que notre approche fonctionne ».
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