Ce soir à la télé : De Bevers, Het Achterhuis van Rotterdam et 7 Little Johnstons

Nous l’attendions avec impatience depuis toute une saison et enfin le moment est venu : Kees a de nouveaux cheveux. Mais avant même qu’un follicule pileux n’ait parcouru le long chemin jusqu’à sa couronne, Kees commence à avoir des doutes. Ose-t-il encore ? En attendant, John joue un match de football avec son équipe De Beverboys et, comment pourrait-il en être autrement, veut gagner à tout prix.

Dans son moulin, Roger Seymour, propriétaire d’une plantation de canne à sucre, est retrouvé mort avec une machette dans le dos. Comme Seymour n’était pas exactement l’homme le plus sympathique de Sainte-Marie, la liste des suspects est interminable. Petit hic : tout le monde a un alibi étanche. Richard et son équipe doivent se contenter des rares indices trouvés sur les lieux du crime : le verre d’une lampe de poche et le « JOH » écrit avec du sang.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, trois familles juives se sont cachées dans le petit espace à côté de l’orgue du Breepleinkerk au sud de Rotterdam pendant près de trois ans. Grâce au pasteur, au sacristain et aux membres de l’église, les clandestins ont réussi à survivre à la guerre. Lors de la reconstruction, cependant, la cachette tombe dans l’oubli. Les tribunes d’orgues n’ont été redécouvertes qu’en 2006.

Toute la famille Johnston est peut-être de petite taille, mais leurs personnalités n’en sont pas moins fortes. Trent et Amber prennent la parole lorsque leur fils aîné Jonah semble se perdre dans le cannabis. Pour garder une certaine emprise sur leur rejeton fumeur, il n’y a qu’une chose à faire : Jonah doit rentrer chez lui. Une place se libèrera de toute façon dans la maison des Johnston : Liz veut vivre avec Brice. Mais est-ce que cela rend Trent heureux ?

Exercices militaires, agneaux nouveau-nés, crachats d’huîtres ; la région des Wadden a souvent fait ses preuves en tant que lieu photogénique. Pourtant, la plus grande zone intertidale du monde n’a jamais été représentée de manière aussi époustouflante qu’aujourd’hui. Dans Le silence des maréessacré meilleur documentaire à l’IDFA 2020, Pieter-Rim de Kroon nous fait rêver aux marées, mais nous fait aussi découvrir la créature la plus étrange qui pénètre occasionnellement dans les vasières : l’homme.