Catania revient en Superlega et récupère le titre de Vibo Valentia

Le club a annoncé qu’il acceptait le repêchage de la Ligue. Une place historique revient sur le devant de la scène. Le marché commence-t-il avec Buchegger ?

Le titre SuperLega de Tonno Callipo Vibo restera dans le Sud : il sera acquis par Farmitalia Saturnia, un club de Catane qui vient de fêter sa montée en A-2 masculin après les barrages remportés dimanche dernier à Casarano. L’entreprise du président Luigi Pulvirenti dans la soirée a donné une pleine disponibilité au président de la Ligue, Massimo Righi, présentant le projet, la disponibilité économique et la possibilité de parler avec Vibo pour l’échange de documents pour acquérir le titre.

26 ans plus tard

Farmitalia ramènera la catégorie la plus élevée à Catane après 26 ans, après la chute ruineuse de 1996-97 à la fin d’un cycle infini qui a pour origine le championnat Paoletti de Pittera, Nassi et Greco en 1978, un nouveau cycle avec les exploits de Volleyball Catania par Lo Bianco, Conte et Kantor entre la fin des années 80 et le début des années 90, avec un épilogue au seuil du nouveau millénaire grâce à la promotion à A-1 de Traco par Travica et Grbic, avec des suites apparitions de Sarmientos, Despaigne, Ivanov. Dans les prochaines heures annonces officielles et présentation de l’activité. Lequel, sur le plan technique, repart de la confirmation sur le banc de l’entraîneur Waldo Kantor (l’un des champions de l’âge d’or en tant que joueur) et pourrait enregistrer les arrivées, précisément de Vibo, du libre Cavaccini et de l’inverse Buchegger. Dans une ville folle de foot, de retour en Serie C avec à la barre l’entrepreneur sicilien-australien Ross Pelligra, porté par un public qui compte en moyenne 15 000 personnes par match, le volley a joué un rôle de premier plan : compétition 1 de la finale avec Casarano a été suivi par 3500 spectateurs qui ont rempli presque complètement le palaCatania. La tradition historique ne s’est jamais perdue. Une équipe de haut niveau a disparu depuis trop d’années. Lacune comblée à table, mais avec une solidité économique qui rassure.



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