NonABA, Nouvelle Académie des Beaux-Arts, la plus grande académie des beaux-arts italienne, a créé en collaboration avec Carolina Herrea deux bourses d’études dédiées aux étudiantes et aux personnes quibien que ne se reconnaissant pas dans le genre attribué à la naissance, ils s’identifient comme des femmes et ils ont activé le Carrière d’alias à l’Académie, dans les bureaux de Milan et Rome.
Le but est de promouvoir l’emploi des femmes et l’égalité des chances dans le monde des artsdesign et créativité, en donnant également aux étudiants la possibilité de participer à une séance de coaching RH avec l’équipe HR Puig du bureau de Milan, préparatoire à l’approche du monde du travail au sein d’entreprises multinationales.
Le parcours créatif a amené les jeunes étudiants à affronter les refonte visuelle du stylet emblématique « Good Girl » de Carolina Herrera dans toutes ses expressions possibles, à travers l’utilisation d’outils traditionnels ou des technologies numériques les plus innovantes.
Dans cette vidéo les travaux des 2 étudiants gagnants et de l’étudiant qui a obtenu la mention spéciale. Ou: Martina Lorusso étudiant de trois ans en Cinéma et Animation de la NABA, Nouvelle Académie des Beaux-Arts et Martine Hellen Johannessen étudiant de trois ans en Conception de NABA, Nouvelle Académie des Beaux-Arts. Eva Dematté étudiant de trois ans en Cinéma et Animation de la NABA, Nouvelle Académie des Beaux-Arts.
Les œuvres des lauréats 2024
Martine Hellen Johannessen est née à Tonsberg (Norvège) en 2000. Ses œuvres se veulent une célébration du pouvoir féminin. Ce sont des pièces audacieuses et percutantes qui embrassent l’essence de la féminité. Inspirée par la forme aiguille emblématique de Good Girl, emblème de confiance et de force, Martine explore les contours et les formes que les femmes associent à la féminité à travers l’art délicat de la broderie.
Martina Lorusso est née à Bari en 2003. Dans son court métrage explore la fraternité innée entre les femmes.
«Depuis trois ans, je vis seul dans une grande ville. La nuit, mes yeux cherchent instinctivement une autre femme dans la rue. La voir me permet de respirer, de me sentir en sécurité. Quand j’étais plus jeune, j’ai vu une plaque de l’artiste américaine Jenny Holzer à la Tate Modern de Londres qui disait : la nuit tombée, c’est un soulagement de voir une fille marcher vers ou derrière vous. Vous êtes moins susceptible d’être attaqué».
Eva Dematté elle a obtenu une mention honorable pour s’être remise en question dans nouvelle voie sur le thème de la féminitéen l’interprétant avec un ensemble de photographies fortes et évocatrices qui retracent moments de mémoire passée.
iO Donna © TOUS DROITS RÉSERVÉS