Cancer du poumon : Breathink est née, l’initiative pour trouver des solutions « de grande envergure »


Paxes géants pour s’attaquer et gérer le cancer du poumon. Des nouveaux médicaments « sur mesure » aux centres sur-spécialisés, la prévention et le traitement deviennent plus accessibles et moins effrayants. L’une des initiatives les plus encourageantes est le démarrage Repensezle projet d’open innovation lancé par AstraZeneca, une société pharmaceutique qui s’est toujours engagée à identifier des solutions thérapeutiques pour les personnes vivant avec un néoplasme. L’idée est de collecter des idées et des stimuli externes dans le but de générer solutions innovantes qu’ils peuvent vraiment aider les cliniciens, les patients et les soignants à faire face à la maladie de la meilleure façon possible. A l’issue de la formation, l’idée jugée la plus innovante, efficace et proche des besoins des acteurs concernés sera retenue.

Cancer du poumon : Breathink est né

L’initiative, qui a débuté en juin 2022, est nationale et divisée en trois phases. Cliniques, associations de patients, universités, incubateurs et startups sont sollicités pour identifier les besoins et les bénéfices attendus dans la prise en charge d’une pathologie qui en Italie, il cause environ 34 000 décès par andans le but de rechercher des solutions innovantes et pluridisciplinaires. En novembre, l’ensemble du parcours devrait se terminer par un événement en direct au cours duquel tous les projets seront présentés.

« Poussée par la force scientifique et l’innovation, AstraZeneca s’est toujours engagée à révolutionner les soins contre le cancer du poumon grâce au développement de thérapies et de services qui améliorent considérablement le traitement, la survie et la qualité de vie des patients », déclare Mirko Merletti, vice-président oncologie AstraZeneca. « Avec 50 essais cliniques en cours et plus de 4 500 patients traités en 2021, nous sommes la première entreprise en Italie pour le nombre d’essais cliniques et nous voulons être les protagonistes d’un nouveau changement révolutionnaire en oncologie, en relevant les défis de la communauté scientifique et des patients atteints de cancer du poumon. , faisant de nous des promoteurs de projets tels que « Breathink », qui peuvent aider le processus diagnostique-thérapeutique ».

Prévention du cancer du sein : les tests à faire

Qui est le plus à risque de développer un cancer du poumon ?

La catégorie la plus à risque de cancer du poumon est celle des les fumeurs: neuf cancers sur dix sont en effet attribuables au tabagisme. Le risque dépend à la fois de la nombre de cigarettes fume ça depuis nombre d’années qu’ils ont fumé mais cesser de fumer peut réduire considérablement ce risque. Ces dernières années, l’incidence (nombre de nouveaux cas en un an) du cancer du poumon a diminué chez les hommes, mais il est considérablement augmenté chez les femmes et cela est dû précisément àtabagisme, a diminué chez les hommes mais augmenté chez les femmes. (La source: Fondation Umberto Veronesi).

Qu’est-ce que le dépistage du cancer et comment ça marche

Les tests utilisés dans le dépistage du cancer s’adressent à des personnes en bonne santé et doivent donc avoir les caractéristiques suivantes :

  • fiabilité: le test doit avoir une sensibilité élevée, c’est-à-dire qu’il doit identifier avec une précision suffisante qui est malade, et une spécificité élevée, c’est-à-dire qu’il doit pouvoir identifier correctement les sujets sains
  • sécurité: le dépistage s’adresse à des personnes potentiellement en bonne santé et les tests utilisés doivent donc être peu invasifs et exempts d’effets secondaires
  • acceptabilité: pour être efficace, un programme de dépistage doit être adopté par un large éventail de personnes et doit donc être « apprécié » par la population cible
  • durabilité: s’adressant à un grand nombre de personnes, le système de santé doit disposer de ressources suffisantes pour pouvoir proposer les tests à tous
  • cincapacité à modifier le cours de la tumeur: le diagnostic précoce réalisé grâce au dépistage doit permettre de pouvoir influer sur la progression de la maladie, prolonger la survie des malades et/ou sauver leur vie

À aujourd’hui, il n’y a que trois dépistages du cancer approuvés et utilisés en pratique clinique : celle du cancer du sein (mammographie), celle du cancer du col de l’utérus (pap-test ou test de détection du Papillomavirus HPV) et celle du cancer colorectal (recherche de sang occulte dans les fèces). (La source: Fondation Umberto Veronesi)

Cancer du poumon : les chiffres en Italie

Le cancer du poumon est l’un des cancers les plus fréquents avec le pire pronostic. En raison de la difficulté de diagnostiquer la maladie à un stade précoce, la plupart des patients sont détectés lorsque le cancer est avancé. On estime environ 41 000 nouveaux cas de cancer du poumon (27 550 chez les hommes et 13 300 chez les femmes, en 2020). Et le deuxième tumeur la plus fréquente chez les hommes (14 %) et les troisième chez les femmes (sept%). En 2021, il y a eu environ 34 000 décès dus au cancer du poumon, 23 400 chez les hommes et 10 000 chez les femmes. (La source Numéros de cancer en Italie 2021. Intermedia Editore). Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer chez les hommes et la deuxième cause chez les femmes. (La sourceAIOM. Lignes directrices sur les néoplasmes pulmonaires. Édition 2021. Mise à jour octobre 2021).

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La survie à 5 ans des patients atteints d’un cancer du poumon est encore limitée et affectée négativement par la grande proportion de patients qui reçoivent un diagnostic de maladie avancée. La survie nette à 5 ans après diagnostic est estimée à 16% chez les hommes et 23% chez les femmes (Source Commission européenne. Plan européen de lutte contre le cancer. Communication de la commission au Parlement européen et au Conseil)

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