Caméra dans l’urètre Marc-Marie Huijbregts : « C’est un film d’horreur »


Marc-Marie Huijbregts a vécu une horrible expérience médicale. Un médecin a pénétré son urètre avec une caméra pour faire des enregistrements. « C’était un film d’horreur. »

©RTL

Un long tube avec une petite caméra a été passé dans l’urètre de Marc-Marie Huijbregts pour enquêter sur un problème médical. C’était horrible, réagit l’humoriste dans son podcast Marc-Marie et Aaf trouvent quelque chose† « J’ai dû autoriser cela à l’époque, car il y avait peut-être quelque chose de très grave. »

Film d’horreur

Les médecins ont voulu examiner la prostate de Marc-Marie. « À un moment donné, j’ai dit : ‘Ça ressemble à un film d’horreur !’ Je me suis allongé dans ces échafaudages avec mes jambes écartées avec un tel tissu vert, mais ensuite le pénis libre. Et puis j’ai dû mettre une caméra dans ma bite et il disait aussi: ‘Non, mais c’est du gel anesthésiant.' »

Ce gel anesthésiant était censé soulager l’inconfort. « Oui, je pense que c’est comme des boules magiques, genre : oui, tu y crois toi-même, ‘gel narcotique’ ?! Oui, ça fait vraiment mal. Le plus : il a mis ce gel sur la pointe de cette caméra, mais cette caméra est bien sûr entrée. Ce n’est pas le cas qu’il mette ce gel au préalable et que la caméra puisse ensuite l’atteindre.

gel de bite

Comment ça s’est passé exactement avec ce gel et cet appareil photo ? «Il a donné ce gel au caméraman et il a dû le mettre directement sur la caméra pendant qu’il le mettait dans la bite. J’ai dit: « C’est comme un film d’horreur. » Il était tellement au-dessus de moi comme, ‘Hahaha!’ Comme vous deux. Cela ressemblait vraiment à un film d’horreur. Terrible. »

Heureusement il n’y avait rien de grave. « C’était un vaisseau sanguin près de la vessie. Il s’était cassé et à cause de cela il y avait du sang dans les urines. Bien sûr, ils ont pensé : c’est à ce moment-là que le traitement n’a plus de sens ! Mais ce n’était pas ça. »

Peur

À cause de ce genre d’enquêtes, Marc-Marie éprouve un énorme obstacle à aller chez le médecin. « Ce que j’ai souvent… Eh bien, souvent… Ce que j’ai aussi eu, c’est que j’ai dit au médecin généraliste : ‘Je vais dire que j’ai quelque chose, mais je ne veux pas d’examen pour ça.’ Alors j’ai toujours peur… »

« Alors je pense : alors il faut qu’il sache par cœur ce qu’il y a là. Qu’il dit juste « C’est ça ou ça ou ça », mais je ne veux pas d’enquêtes désagréables. »

Des excuses

Au passage, Marc-Marie a fait les manchettes hier car Birgit Schuurman a ridiculisé sa voix. Elle s’en est depuis excusée :



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