Ça commence ce soir sur Rai Storia avec Piera Degli Esposti, décédée le 14 août 2021


reviens ce soir Histoire du Raï (à 21h10) Le signe des femmes, troisième saison. protagonistes, six femmes exemplaires du XXe siècle qui, grâce à leur talent, se sont distingués en apportant une contribution fondamentale à la culture et à la société italienne : Piera Degli Esposti, Luisa Spagnoli, Topazia Alliata, Letizia Battaglia, Sibilla Aleramo et Teresa Mattei. Dans « la vie » grâce à l’interprétation d’autant d’actrices interviewées par Angela Rafanelli. Diriger le programme pour la première fois.

Le signe des femmes: face à face avec l’histoire

Affaires humaines et professionnelles de ces protagonistes incontestés de l’histoire sont racontés en deux actes. Représentants de deux époques, deux moments emblématiques ou deux thèmes phares de leur vie. Le récit, dynamique et moderne, est rendu réaliste grâce à six actrices – transformé à travers maquillage et costumes dans ces femmes extraordinaires.

Mener la rencontre avec ces figures du passé est Angela Rafanelli, qui entame avec eux une conversation capable de faire ressortir l’histoire, la personnalité et le caractère de chacun. Vous êtes des excellences courageuses et tenaces, qui ont lutté pour laisser une trace dans l’art, le cinéma, la mode, la politique, dans la littérature et les affaires.

Six voyages sous le signe des femmes

Dans le premier épisode Michelle Cescon imiter Piera degli Esposti. Actrice extraordinaire, décédée le 14 août 2021, a collaboré avec d’immenses artistes, on s’en souvient de trois : Pier Paolo Pasolini, Paolo Sorrentino et Marco Bellocchio. Dans le prochain épisode, c’est plutôt Elisabeth Pellini porter les vêtements de Topaze alliéepeintre et galeriste, femme entreprenante et créative, guidée par l’idéal de liberté et mère de l’écrivain Dacia Maraini.

Angela Rafanelli interviewe Piera Degli Esposti (Michela Cescon). (Raï)

Au troisième rendez-vous avec Le signe des femmes Valentina D’Agostino devient la photojournaliste éclectique et rebelle Letizia Battaglia. Egalement apprécié à l’international, il est entré dans l’histoire pour avoir été la première femme européenne à recevoir le prix Eugene Smithà New York. Rosa Palasciano et plutôt Sybil Aleramola premier écrivain en Italie à dénoncerà travers son roman Une femmele rôle des femmes dans la société au début du XXe siècle.

Euridice Axen est Luisa Spagnoli. (Raï)

Elena Lietti il donne alors le visage à la politique et pédagogue Thérèse Mattei, qui se sont battus pour les droits de la Constitution et de l’enfance. Enfin, le dernier épisode raconte l’histoire de l’entrepreneur Luisa Spagnolila créatrice de Bacio Perugina et de la chaîne de magasins de vêtements qui porte son nom. Et il le fait à travers la voix et le visage de l’actrice Euridice Axen.

Entre fiction et documentaire

Le signe des femmes c’est un format original qui combine la narration de la fiction avec une enquête documentaire minutieuse. Les entretiens se déroulent en effet mots de mise en scène effectivement utilisés par les protagonistessoigneusement sélectionnés et historiquement vérifiés, grâce à l’utilisation de sources directes telles que lettres, journaux intimes, interviews de journalistes et discours publicsmis au jour par les auteurs avec les conseils de l’historienne Silvia Salvatici.

Pour enrichir l’histoire sont avant tout images inédites et images d’archives. Sans oublier la présence de nombreux témoins illustres tels que les membres de la famille et les amis des protagonistes, dont les filles de Topazia Alliata, Dacia et Toni Maraini, et Marilù Balsamo, amie historique de Letizia Battaglia. Parmi les autres témoignages aussi celui de la politicienne Livia Turco.

Viennent ensuite les apports de Achille Bonito Oliva, par l’essayiste Mirella Serri, par la professeure de littérature italienne et d’études féminines et de genre Maria Serena Sapegno, par le réalisateur Riccardo Milani, par le journaliste Attilio Bolzoni, par l’historienne de la mode et enseignante Sofia Gnoli. Et enfin de Nicolette Spagnolipetite-fille de Luisa Spagnoli, de la professeure d’histoire contemporaine et d’histoire du genre Patrizia Gabrielli et de la directrice du musée historique de Perugina Maria Cristina Mencaroni.

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