Bruges a un plan prêt pour ce à quoi la ville veut ressembler en 2050

Le plan est une traduction de l’arrêt de béton flamand ou du changement de construction. Il doit veiller à ce que l’espace public de la ville soit utilisé le plus efficacement possible. L’échevin de l’aménagement du territoire Franky Demon : « Nous voulons travailler avec des plans. Lorsque des personnes, des écoles ou des entreprises demandent un permis de construire, nous voulons le faire selon un plan structuré. Et ce plan est maintenant prêt. enquête et écoute des gens pour faire des ajustements. »

2050 c’est encore loin

Par exemple, le plan stipule que l’espace qui n’est pas destiné à la construction doit le rester. Il faudra donc les construire plus rapprochés. « Je pense au centre-ville, je pense à Sint-Andries, Sint-Michiels où on devrait pouvoir construire un peu plus près, mais d’autres choses comme le nord, comme Dudzele, Lissewege, mais aussi loin -Assebroek, où le plan stipule que nous ne pouvons pas devenir plus denses. »

Il y a aussi de la place pour le développement dans le futur plan. A cet effet, la ville étudie le quartier de la gare, Zeebrugge et le site Lanssens (simulation) au quartier des quais. Le Plan de Politique d’Espace sera présenté à tous les Brugeois lors de moments d’information et il pourra encore être ajusté, car 2050 est encore loin.

« 2050 semble loin, mais nous voulons donner une chance aux affaires dans notre ville. Et il faut parfois de nombreuses années pour tout développer. C’est donc bien que nous ayons un plan. La Flandre demande et Bruges sera prête. »



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