Bridget Maasland parle de son passé d’intimidation

Petite fille, Bridget et ses parents ont déménagé environ dix-huit fois. Tout ce déménagement ne lui a pas toujours fait du bien.

Envie

Dans l’une de ces écoles primaires, Bridget ne s’intégrait pas bien dans le groupe. En raison du mannequinat qu’elle a fait à un jeune âge, elle a l’idée que le comportement d’intimidation était une forme d’envie. « Je pense que c’était plus une certaine jalousie. Ce enfants ne pouvait pas très bien me placer. C’est particulièrement difficile pour les enfants », dit-elle.

Tombe dans les escaliers

Elle indique que cela n’a pas toujours été facile. « J’ai traversé une période où je l’ai très mal géré. Que je suis vraiment tombé dans les escaliers de haut en bas, en espérant avoir cassé quelque chose et ne pas avoir à aller à l’école. C’est allé assez loin. Je ne suis pas un clicker ou quoi que ce soit, donc ce n’est pas comme si j’étais rentré à la maison: « Oh, je suis victime d’intimidation. »

Se lever pour les autres

Bridget a particulièrement lutté contre l’intimidation parce qu’elle avait toujours l’habitude de défendre les autres dans sa classe. « Le fait que j’ai moi-même été victime d’intimidation à un moment donné était une contradiction assez étrange. Je ne savais pas trop comment gérer ça. » Après avoir de nouveau déménagé avec ses parents, elle est allée avec bonheur dans une autre école. Elle n’a pas été dérangée par les intimidateurs là-bas. Bridget n’a que des souvenirs positifs du lycée. « J’appartenais partout et nulle part. J’ai traîné avec les caca, j’ai traîné avec les squatteurs. J’avais des amis partout.

Les amis de Bridget n’ont pas apprécié qu’elle arrête de boire de l’alcool. Découvrez pourquoi ci-dessous :

Source: Boulevard RTL



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