Bridget Maasland : « Maxime Meiland, vous avez publié votre propre livre ! »


Bridget Maasland a des sentiments mitigés à propos du fait que Maxime Meiland se plaint désormais de l’attention médiatique portée à ses allégations d’abus. « Bien sûr, elle a elle-même publié un livre. »

©RTL

Maxime Meiland affirme avoir été maltraitée par un pair à l’âge de 15 ans et le dit depuis des années à qui veut l’entendre. En fait, elle a publié un livre entier à ce sujet cette année. Mais le reporting ? Elle n’a jamais fait cela, même à l’époque de la publication de son livre à ce sujet. L’accusé en a désormais marre…

Accusé à tort?

Être faussement accusé d’abus est intense et le pair de Maxime affirme que c’est le cas. Il veut s’en défendre, car ses soupçons ne s’arrêtent pas. Maintenant qu’il a donné une interview et que sa version des faits est très comprise, Maxime commence à se plaindre de victimisation secondaire dans ses histoires Instagram.

Peter Schouten, l’avocat de la victime présumée de Maxime, est d’accord Boulevard RTL: « Il estime qu’un homme faussement accusé de viol devrait avoir la possibilité de se défendre. Que treize ans plus tard, elle publie cela dans son livre et jette mon client aux lions dans les médias, oui, c’est bien sûr complètement faux.»

Envoyer un signal

Que pense la journaliste policière Jermaine Ellenkamp du fait que Maxime se plaint dans ses histoires Insta de l’attention médiatique portée à l’homme qu’elle accuse ? « On voit surtout que Maxime veut effectivement envoyer un signal : hé, je suis déjà parfait alors dans l’évier et maintenant encore à travers ses publications dans les médias.

Il poursuit : « Mais bien sûr, elle a choisi de publier ce livre elle-même. Mais oui, il semble qu’elle en souffre maintenant, émotionnellement, et je pense qu’elle veut avant tout le dire.

Bridget critique

Bridget Maasland pense également qu’il est important de faire ce commentaire. « On appelle cela une victimisation secondaire, le fait qu’il faut revivre l’enfer plus tard, mais oui, comme vous le décrivez également : bien sûr, un livre a été publié dans lequel elle écrit également toute cette histoire d’horreur. »

« C’est effectivement ce qui est difficile ici. Elle a sorti ça», répond Rob Goossens, qui se demande si Maxime a un effet avec sa plainte pour victimisation secondaire. « Je ne sais pas si cela fera grand-chose, car on remarque que les gens veulent aussi prendre au sérieux l’histoire de l’auteur présumé. »

Procédure sommaire

Le référé contre Maxime doit être rendu le 19 janvier. Devra-t-elle désormais arrêter ses réclamations ? « En fin de compte, il n’y a qu’un seul endroit où nous pouvons découvrir la vérité : c’est la salle d’audience », conclut Rob.



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