Brésil, 2-0 contre le Nigeria et première place du groupe D grâce à la différence de buts

Le vert et or a battu les Africains avec des buts de Pedroso et Marquinhos, prenant la première place du groupe. Un jumelage en huitièmes de finale avec l’Argentine a été évité. Les Eagles toujours devant, bien qu’à partir de la troisième place

Tout va bien pour le Brésil – dans le groupe de l’Italie – face à un Nigéria qui ne tient le coup que la première demi-heure. Les Africains lèvent le drapeau blanc peu avant la pause après un une-deux de Pedroso et Marquinhos, mais ils se consolent avec le passage de la manche en tout cas certain grâce aux six points du mas. Parmi les Nigérians Bameyi régulièrement sur le terrain, malgré les soupçons suscités à domicile sur son appartenance à un club fantôme, et aussi le joueur de l’AC Milan Eletu, protagoniste d’une prestation peu convaincante au poste inhabituel de milieu offensif. Le 2-0 aux Nigérians permet à la Seleçao de clore le groupe à la première place grâce à la meilleure différence de buts, évitant ainsi un éventuel jumelage en huitièmes de finale avec l’Argentine.

Supériorité manifeste

La botte est toute de la marque nigériane, qui revendique initialement la plus grande prouesse et la force d’impact. Le tournant possible après 9′, lorsque Jude invente un magnifique demi-vélo qui touche la barre transversale et rebondit sur la ligne avant de revenir sur le terrain. Grâce à la chance, le Brésil entre en jeu et commence à piquer la défense africaine grâce à la poussée d’un Savio vif, protagoniste de deux énormes déchets devant Aniagbioso (11′ et 45′). Pour matérialiser la supériorité du jeu et la grande quantité d’occasions créées sont Pedroso, auteur de l’avantage à la 43e minute grâce à une tête sur corner, et Marquinhos, qui double à la 47e minute après un rapide renversement devant. de . En seconde période, un certain excès de confiance empêche le Brésil de boucler la rencontre, Marcos Leonardo et Biro en savent quelque chose, et le Nigeria a le mérite de continuer à essayer. Dommage pour les Africains qui ont touché la barre transversale à la 74e minute du nouveau remplaçant Sarki. C’est le frisson ultime pour Mycael, aussi parce que les remplacements dans les 14 dernières minutes cassent le jeu, ce qui facilite la tâche de la Seleçao.



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