Bologne, voici Lucumi : "Le projet m’a séduit. Idoles ? Cordoue et Yepes"

Le défenseur, arrivé de Genk, a reçu un permis de séjour et est déjà disponible pour le match de San Siro contre Milan. « Il faudra que je me renseigne sur le championnat italien, mon père m’a montré la Serie A quand j’étais petit »

De notre correspondant à Casteldebole Matteo Dalla Vite

24 août
-Milan

Jhon Lucumi, un Colombien retiré de Genk en payant la clause des 8 millions d’euros, se présente : arrivé, le permis de séjour est peut-être déjà disponible pour le match de San Siro contre Milan et les prix de propriété (au lieu de Bonifazi) augmentent d’heure en heure.

La présentation

A ses côtés, le directeur de la zone technique Giovanni Sartori : « Malgré son jeune âge il a une expérience internationale entre Genk et chez lui – dit Sartori – : c’est un joueur qu’on connaissait tous, je l’avais suivi à l’Atalanta, j’avais essayé pour le prendre et Bologne aussi, mais il n’avait jamais été sur le marché. Cette année on a réussi, on espère qu’il pourra devenir un joueur encore plus important qu’il ne l’est ». Ensuite, voici Jhon : « Bologne m’a attiré pour le projet sportif – dit le Colombien – mais aussi pour l’équipe qui compte de grands joueurs : le projet m’a tout de suite semblé positif pour ma compréhension des choses, en plus du fait que la Serie A c’est évidemment très attirante et je la considère comme une étape de plus dans ma carrière. Médel ? Nous le connaissons tous en Amérique du Sud, par expérience et caractère et en tant que joueur : il va certainement aider ma carrière, et j’espère jouer à ses côtés de manière positive. Suis-je déjà disponible pour jouer ? Oui, je suis disponible, tous les fichiers sont arrivés. Avantages et inconvénients ? Bien sûr je dois apprendre à connaître le championnat italien, je veux montrer mes compétences, quand je connaîtrai mieux la Serie A, mes coéquipiers et mon tout nouveau monde alors je pourrai m’exprimer sur ce que je dois améliorer. .. ”.

Cordoue et Yepes

Evidemment, il connaît encore peu Bologne (« Ils m’ont dit que c’est une très belle ville, les gens m’ont quand même très bien accueilli, Di Vaio m’a alors parlé de la valeur de ce club et de la ville elle-même »), par le passé il était sur le point de porter le maillot de Barcelone. « J’ai disputé les trois derniers matchs avec Genk avec un grand professionnalisme mais je connaissais déjà Bologne et je l’avais choisi tout de suite. Barcelone? Je ne sais rien des détails. Ma carrière? J’ai commencé à jouer enfant, mes parents m’ont toujours soutenu – poursuit Lucumì -, mon père a toujours été passionné de football et m’a toujours montré les matchs de la Liga et de la Serie A. C’est lui qui m’a encouragé à aller essayer avec Deportivo Calì et de là puis en 2018 je suis arrivé en Europe à Genk : je suis fier du chemin que j’ai parcouru et je crois que ma famille l’est aussi. Je peux jouer, à gauche étant gaucher, aussi bien en défense à trois qu’en défense à quatre : je n’ai aucun problème dans les deux situations. Idoles ? Ivan Ramiro Cordoba et Mario Yepes, deux points de référence de notre équipe nationale colombienne, sont une source d’inspiration pour tous. Mihajlovic ? On s’est évidemment parlé et surtout des déplacements sur le terrain pour pouvoir rentrer dans les rouages ​​de l’équipe au plus vite ».



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