fidélité: La douleur de perdre une amitié reste à distance dans ‘Close’ ★★★

Du journal hollandais fidélité obtient proche Trois étoiles. Le film a été salué pour la façon dont il a été filmé et le casting des jeunes acteurs. « Les dialogues sont utilisés avec parcimonie, ce qui colle parfaitement au sujet : les garçons se connaissent si bien que les mots n’ont pas d’importance et après leur rupture dramatique, tout le monde est sans mots pour des raisons compréhensibles. » Mais le film reste trop à l’extérieur, ça sonne. « Vous voyez les émotions, vous comprenez les émotions, mais vous ne les ressentez pas assez. Le personnage de Rémi reste à distance, si bien que la douleur en deuxième mi-temps reste également à distance. (…) En tout, proche trop poli pour exprimer la douleur d’une telle perte.

Le Parisien: Finesse éblouissante et subtilité magnifique ★★★★★

Du français Le Parisien Lukas Dhont obtient cinq étoiles. « Creuse avec une finesse éblouissante et une subtilité magnifique prochelauréat du Grand Prix à Cannes en mai, dans les non-dits d’une relation qui s’est terminée trop tôt et de ses conséquences pour l’un laissé pour compte quand l’autre est parti.

L’Obs: Une déception indéniable

Mais tous les médias français ne louent pas de la même manière. Le journal de l’actualité L’Obs donne au film une seule étoile. « Dire que le nouveau film de l’auteur de l’inoubliable fille un échec est une exagération. Mais c’est une déception indéniable. (…) Le cinéaste greffe un scénario en creux sur des scènes champêtres (les deux enfants courent beaucoup dans les prés, mais vraiment beaucoup), qui semblent sans cesse éloignées du sujet réel. Mais en l’évitant, le jeune réalisateur finit aussi par le manquer.

De Volkskrant: ‘Close’ est la quintessence du tournage au plus haut niveau : le langage visuel minutieux est parfait ★★★★★

Louange à de Volkskrant. « proche est un exemple de tournage au plus haut niveau. Dans un non-dit entre âme sœur, intimité, amour et amitié (complété plus tard par un sentiment encore plus difficile à prononcer), le film montre une union d’enfance qui ne peut exister dans le monde réel, à travers des attouchements, des regards silencieux et un fantasme partagé. . Là où le mot peut manquer, Dhont et le géant de la caméra Frank van den Eeden trouvent une image impeccable, attachante et émouvante. (…) Dans le langage visuel minutieux de proche miraculeusement, il s’adapte parfaitement. Comme si Dhont avait secrètement caché un opéra sous tous les moments calmes.

Le Monde: Bouger sans cesse ★★★

« Infiniment émouvant, avec ses personnages très honnêtes, souffre proche à une mise en scène démonstrative, pour nous montrer – au final – tantôt la beauté de l’innocence, tantôt la violence de l’apprentissage des codes masculins.

Le Figaro: Un frère sentimental des Dardenne ★★★

« Lukas Dhont est un admirateur de Céline Sciamma. Il pourrait être un cousin de Xavier Dolan, plus douloureux et moins hystérique. Ou même un frère des Dardenne. Un petit frère sentimental, qui aimerait les concertos pour violon, les couchers de soleil et les courses dans les champs de fleurs.



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