Les Japonais n’ont pas lésiné sur les souvenirs de la Coupe du monde.
Jenni Gastgivar
Les Championnats du monde de basket-ball se déroulent depuis quelques jours sur l’île d’Okinawa, au sud du Japon.
Pourtant, depuis le magasin de la salle de basket locale, on croirait que l’on vit déjà les derniers instants du tournoi. La plupart des étagères sont vides, car les insulaires passionnés par le grand événement ont déjà ramené chez eux les souvenirs hors de prix.
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Par exemple, un modèle miniature de la mascotte du robot JIP, qui semble être d’assez mauvaise qualité, coûte 5 000 yens, soit environ 32 euros.
Cependant, les soucis financiers de Korisfan résonnent bientôt dans l’arène. Là-bas, par exemple, on peut se procurer une bière fraîche dans les stands pour seulement 700 yens, soit environ 4,5 euros.
Le whisky arrosé de soda est tout aussi bon marché. Au lieu de cela, vous pouvez obtenir du Pepsi ou du jus d’orange presque à moitié gratuit (300 yens = 1,9 euros).
Les prix sont plusieurs fois moins chers que dans les concours de valeur organisés en Finlande. Par exemple, lors des courses de louche de l’année dernière, une bière à la Nokia Arena coûtait jusqu’à 9,2 euros.
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Okinawa n’est en aucun cas un endroit particulièrement cher, sauf pour la saison des courses. Les taxis locaux sont bon marché et vous pouvez facilement manger à votre faim dans les restaurants pour environ 15 euros.
Au contraire, le retard technologique du lieu est surprenant. Les connexions Internet ne fonctionnent pratiquement pas sur le site de compétition, ce qui crée des cheveux gris, du moins pour les médias.
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La base militaire américaine située à côté de l’Okinawa Arena pourrait être en partie responsable de cette situation.
La plus grande base aérienne de toute l’Asie de l’Est surveille par exemple la Chine, qui se rend constamment coupable de violations territoriales. Dans le même temps, il contrôle strictement les signaux envoyés sur l’île et, par exemple, les caméramans ne sont pas du tout autorisés à utiliser leurs caméras télécommandées dans le hall.
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