Le capitaine neroverde, lors de sa première saison, décide du match contre le Hellas avec deux buts en seconde période, l’avantage initial de Pinamonti. Le but de Ngonge ne suffit pas aux Gialloblù
– Reggio d’Émilie
Sassuolo avait perdu les deux premiers matchs mais n’avait pas Berardi. Une fois le leader revenu, la victoire est arrivée accompagnée du doublé de son homme avec plus de qualités. Vérone avait plein de points, mais cette fois, ils ont commis trop d’erreurs en défense. Il parvient à égaliser en seconde période avec Ngonge, mais il abandonne ensuite le spectacle de Berardi. Verdict correct.
départ au sprint
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Il faut dire aussi que Berardi revient après les turbulences dues à l’envie d’être vendu et non après une blessure. Mais il est immédiatement pardonné : un centre au centre qui met Vérone en difficulté, la deuxième invitation vient de Toljan et Pinamonti trouve le chemin des filets après des oublis coupables de Coppola et Magnani. C’est le premier but de Sassuolo dans ce championnat. Les noirs et verts tentent d’insister avec quelques idées de Laurienté et Berardi, mais Vérone entre sur le terrain et commence à produire des occasions de but. Duda envoie haut depuis une bonne position, un but de Ngonge est refusé pour juste hors-jeu au début, mais ensuite la plus grosse erreur est la sienne lorsqu’il manque le cadre sur le centre de Doig. Il se rattrapera en seconde période avec un nul 1-1, qui en réalité était une tentative de centre que personne ne touche.
les mouvements
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Après une demi-heure, Dionisi a renforcé le milieu de terrain en le mettant définitivement à trois, Baroni a dû remplacer Hongla, blessé, par Serdar. L’attaquant Folorunsho est le faux neuf à la place de Djuric, qui entre en seconde période ; à ses côtés bougent Ngonge et Mboula, remplacés en début de seconde période par Bonazzoli. Mais les plus gros problèmes de Hellas sont toujours en défense, où Hien, suspendu, est absent. Au début de la deuxième partie, au milieu des erreurs des deux côtés, le tir de Ngonge surprend tout le monde, mais alors le spectacle de Berardi commence : il dépasse Coppola et met le 2-1 avec une déviation, puis repris par Bajrami obtient le penalty du set (faute par Doig) et il n’a pas tort. Content de te revoir.
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