Bas Smit provoque la colère des salariés : « Je me sens foutu ! »


Bas Smit est à nouveau dans l’actualité négativement avec son service de livraison flash Zapp. Un groupe d'(anciens) employés se sent assez « foutu » par l’entreprise, rapporte Het Parool.

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Le service de livraison Zapp, amené aux Pays-Bas par Bas Smit, a été gravement discrédité fin avril lorsque Het Parool a dénoncé la consommation de drogue et le sexisme au travail. Le mari de Nicolette van Dam a affirmé n’en rien savoir. Il a ensuite indiqué qu’il était « extrêmement choqué par ces graves informations ».

Mauvais exploiteur

Peu de temps après, la municipalité d’Amsterdam a décidé que Bas devait fermer immédiatement une de ses succursales en raison de nuisances extrêmes. Bas n’est vraiment qu’un mauvais exploiteur, a déclaré le chroniqueur Leon Verdonschot. On le reconnaissait au chapeau haut de forme et au cigare, écrivait-il. « En cette période de leur rugissement stupide et creux. »

Le vent ne pouvait plus tourner pour Bas : fin juin, Zapp décidait de quitter les Pays-Bas, à la joie de beaucoup. « Est-ce qu’ils amènent aussi leurs amis ? Économise à nouveau beaucoup de vélos kamikazes sur le trottoir. Est-ce que ces millénaires paresseux vont eux-mêmes au magasin », a-t-il sonné.

« Je me sens foutu ! »

Het Parool rapporte maintenant qu’un groupe d'(anciens) employés de Zapp se sentent « foutus » parce que les accords sur la résiliation de leurs contrats ne sont plus respectés. « Je me sens foutu de ne plus pouvoir tout à coup », dit l’un d’eux contre le journal.

Une trentaine de salariés ont signalé au syndicat FNV, rapporte le journal. « Le groupe est probablement encore plus grand. Ils disent qu’ils ont mené des négociations approfondies avec Zapp au sujet de la résiliation de leur contrat », selon Het Parool.

Des milliers d’euro

L’intention était que les employés reçoivent jusqu’à quelques milliers d’euros, mais maintenant que Gorillas a repris les magasins sombres d’Amsterdam, y compris le personnel, Zapp ne pense plus que cela soit nécessaire.

Une méthode discutable, selon l’avocat en droit du travail Pascal Besselink du DAS. « Il y a des employés qui ont déjà apposé leur signature. Les employés sont donc traités de manière inégale.

le mot de passe

L’article dans Het Parool :



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