Bas Smit et Nicolette van Dam sont poursuivis par une foule en colère qui réclame leur argent. Où devraient-ils récupérer cela? « Peut-être à la Brasserie Van Dam ! Ou allumez ANGRY ! »
Le patron privé Evert Sankrediets pense qu’il est clair que Bas Smit et Nicolette van Dam ne sont pas aptes à organiser un événement majeur. Leur concert d’été à Amsterdam samedi, qui a attiré environ 25 000 personnes, a été un fiasco complet. Il restera dans les livres d’histoire comme une sorte de Dutch Fyre Festival.
« Amateurs ! »
Evert pense que les deux sont de très mauvais amateurs. « C’est un métier d’organiser un tel événement. C’est comme organiser une fête d’anniversaire pour cent personnes et vous obtenez deux canettes et une bouteille de vin. Beaucoup de choses ont mal tourné. Ils blâment le personnel qui ne s’est pas présenté, mais s’ils avaient été là, tout aurait été en place encore plus tôt. »
Apparemment, il y avait du personnel disponible pour supprimer les commentaires critiques d’Instagram. « Ce qui avait du personnel, c’était de maintenir le site à jour, car au début, toutes les réactions négatives étaient toutes effacées. Vous avez vu des gens dire : ‘Où est passé mon message ?’ Ils ont abandonné ça à un moment donné. »
Le présentateur Tooske Ragas le résume Afficher les actualités: « C’est juste raté. »
« Panique sur le terrain »
C’était vraiment le chaos, reconnaît Bas lui-même dans RTL Boulevard. Il a dit qu’il y avait « panique sur le terrain ». Certains visiteurs ont même craint pour leur vie. « Cet échafaudage en fer faisait des allers-retours vraiment bizarres quand nous étions guidés dessus comme un troupeau d’animaux, tous vraiment bizarres », explique Geoffrey sur Amsterdam Summer Insta.
Les visiteurs parlent « d’escaliers d’échafaudage branlants ». Geoffrey : « Cet événement aurait pu faire un nombre bizarre de victimes. Juste mortelle.
Et quelqu’un d’autre : « Désolé, mais quel gâchis c’était hier !! Je ne me sentais pas en sécurité dans la foule immense ! Il y avait trop de monde et trop peu de sécurité !! Cela aurait pu mal tourner. »
remplisseurs de sacs
La plupart des visiteurs se plaignent des longues files d’attente pour la nourriture et les boissons, mais selon Mariska, cela est allé beaucoup plus loin. « De grandes foules de gens se sont soudainement déplacées, des escaliers métalliques branlants qui semblaient s’effondrer, plus de boissons à 21 heures », résume-t-elle. « Et sans parler du montant fou que nous avons perdu. Plus jamais! »
La foule pleure, tandis que Bas et Nicolette rigolent : leurs poches sont maintenant pleines. Marcel : « Vous avez rempli vos poches et les 25 000 premières personnes ont été soulevées par vous. SYWERT VAN LIENDEN parfois un cousin ou quoi ? Venez avec une compensation pour toutes les personnes sur le terrain qui ont dû endurer cette soirée désastreuse.
‘Compensation!’
Cet appel à la compensation vient de beaucoup. Les victimes veulent récupérer leur argent. Cactus : « Il doit y avoir une compensation pour tous ceux qui sont passés par là. Prix des billets disproportionnés par rapport à ce qui s’est passé.
Tessa est furieuse de la déclaration de Bas et Nicolette. « Agréable et facile, désolé et ainsi de suite. Cela ne nous sert à rien du tout, que pensez-vous d’une juste compensation ? »
Sjoerd : « Il semble que vous vouliez gagner le plus d’argent possible sans investir le maximum dans l’événement. »
Lisa : « Bas, Nicolette, il doit y avoir quelque chose en retour ??? «
Glenn : « Rendez-nous la moitié du billet ! »
Et Jerry : « Est-ce que l’on sait quoi que ce soit sur l’indemnisation de samedi ? Ou ces gens ne sont-ils plus intéressants parce qu’ils ont déjà dépensé leur argent ? »
A la brasserie ?
Les gens se demandent comment faire une demande d’indemnisation. « Je voudrais récupérer mon argent. Où puis-je arranger ça ? », demande Dola.
Ber lui conseille d’aller sous la tente traiteur de Bas et Nicolette. “La brasserie du barrage !”
Et une Eva : « ENVOYEZ UN MESSAGE À ANGRY. »
Nicolette répond dans RTL Boulevard : « C’est un cas de force majeure et nous n’avions aucun contrôle là-dessus. Peut-être aurions-nous dû l’estimer autrement. Il faut aussi se montrer du doigt et se dire : si seulement on avait déployé un nombre double de personnes en termes de personnel. C’est maintenant ce que c’est. Nous évaluerons avec l’équipe. Nous chercherons une solution adaptée. »