Bám : « Duncan Laurence n’est pas gentil, pas gentil et pas accessible »


Alors que Duncan Laurence espère redorer son image avec sa participation à Best Singers, Jan Uriot débarque au coin de la rue avec sa hache. “Pas sympa et pas sympa!”

© ASBL, Telegraaf

Il est évident que Duncan Laurence est une formidable diva. Il marque un succès une fois et se prend depuis lors pour une sorte de Madone. « Néerlandais?! C’est quoi? Je parle seulement anglais! » Un problème : l’attrait des stars n’est pas apprécié dans notre pays. Et les médias du spectacle en ont déjà complètement fini avec lui. Le résultat? Duncan est devenu une sorte de paria.

Pas gentil

Paria ou pas : il est actuellement dans la catégorie Meilleurs chanteurs. La semaine dernière, Duncan, 29 ans, était le tout premier artiste interprète de cette saison et hop, les Waterlanders sont arrivés au bout de quinze secondes. Sommes-nous témoins de la dégradation de son image en direct ici ? Ou a-t-il encore un long chemin à parcourir ?

Eh bien, ce dernier, si cela ne tenait qu’à Jan Uriot (78). Le faux reporter star de Privé rase le chanteur cette semaine Nouveau Revu: « Il n’est pas accessible, ni sympa ni aimable et se concentre principalement sur sa réussite internationale. »

Vieille plaie

Il y a une vieille douleur, admet Jan. « Nous nous sommes disputés lorsque j’ai écrit qu’il était homosexuel et il en a fait toute une histoire. « Je suis bisexuel », a-t-il crié en enfonçant ses talons dans le sable. Il est maintenant marié à un gentleman.

Selon lui, ce conflit est déjà résolu. « Au printemps, j’ai assisté à son concert au Zonnehuis, où je me tenais juste devant la scène. J’ai reçu un signe de tête amical là-bas, donc je pense que les choses vont à nouveau bien entre nous.

‘J’en ai fini avec lui’

Eh bien, jusqu’à cette interview avec Nieuwe Revu. Jan semble à nouveau en avoir complètement marre de Duncan. «Maintenant, il a livré une belle nouvelle musique, mais les Pays-Bas ne sont pas encore vraiment enthousiasmés. En fait, après cette première joie de 2019, nous en avons un peu fini avec ce garçon.

Comment Duncan peut-il sauver la situation ? «Je voudrais lui conseiller de répondre aux journalistes d’une manière plus normale et humaine et de laisser de côté ces mots anglais et cet accent américain soudain. Ensuite, les choses iront probablement à nouveau bien. Ici, la presse le veut, mais il faut qu’elle avance un peu.»



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