Les deux pères de Pecco et Fabio jouent le duel final de leurs enfants à table. L’Italien : “Ils vont plus vite que tout le monde parce que c’est le groupe, c’est une fin de film”. Le Français : “Je sais combien ils risquent, c’est pourquoi je ne pourrais jamais espérer que Pecco tombera”
par le correspondant Paolo Ianieri
05 novembre
– valence (espagne)
Lorsqu’ils se rencontrent – la première séance d’essais libres vient de se terminer – ils s’embrassent. “Pour moi ça peut aussi s’arrêter ici, ils déclarent valide le FP1 et je suis content” rigole Etienne Quartararo, le père de Fabio en saluant Pietro Bagnaia. Car la première place de son fils et la 17e place de Pecco seraient exactement le résultat dont El Diablo aurait besoin demain pour conserver le titre, avec ces 23 points de retard qui l’obligent à un seul résultat : gagner, en espérant alors que le rival se heurte à un journée désastreuse.