Bagnaia, la chute en Inde est révélatrice : cette étape qui manque encore à Pecco

Le Piémontais n’était pas satisfait des points, terminant derrière Martin, il a attaqué et ça s’est mal passé, malgré une logique très précise et même correcte dans son idée. Un certain type d’équilibre est nécessaire…

La littérature sur Francesco Bagnaia – parce qu’il n’est pas un Romagne exubérant ou parce qu’il agit de manière réservée et peu histrionique – a toujours présenté le pilote Ducati comme un exemple de rationalité et de calcul. Equipé d’un vélo de premier ordre, capable de le faire fonctionner au mieux, il est le seul favori au titre depuis quelques saisons. Et ses victoires, qui tendent à ne pas donner grand-chose au spectacle (mais c’est un défaut imputable davantage aux MotoGP actuels), n’ont fait qu’alimenter cette photographie. Mais Pecco est quelque chose de différent et difficile à classer, c’est un champion étrange qui a tendance à surprendre dès qu’on s’attend à son comportement codifié.



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