Baccalauréat en soins infirmiers dans une direction populaire dans le cadre du congé-éducation flamand

De plus en plus d’employés utilisent le congé de formation flamand pour suivre le baccalauréat en soins infirmiers. Cela ressort clairement des chiffres des ministres du travail Jo Brouns et du bien-être et de la santé publique Hilde Crevits. D’autres programmes de soins de santé se portent également bien.

Dans le cadre du congé-formation flamand, les salariés ont le droit de s’absenter du travail pour suivre une formation, avec plein salaire. Il a droit à 125 heures par an, mais celle-ci peut être portée à 250 heures sous certaines conditions.

Au cours de la dernière année scolaire 2021-2022, 56 535 salariés ont pris un congé de formation. Il est remarquable, disent Brouns et Crevits, que le nombre de programmes d’enseignement supérieur s’élevait à 12,4 %, alors qu’il y a trois ans – lorsque l’initiative a été lancée – il n’était que de 1,8 %. En chiffres absolus, il s’agit d’une augmentation de 4 280 à 6 433 employés.

Au sein de l’enseignement supérieur, le programme de baccalauréat en sciences infirmières est en tête de liste. Avec 1 035 personnes l’année scolaire écoulée, le programme fait trois fois mieux que le deuxième de la liste, le baccalauréat en gestion d’entreprise, qui comptait 325 employés en formation.

Avec une augmentation de 56 % en deux années scolaires, force est de constater que de plus en plus de personnes optent pour une formation pouvant déboucher sur un emploi dans le secteur de la santé, indique le ministre Crevits. « Je ne peux qu’encourager davantage de personnes à choisir une formation en soins de santé », dit-elle. Deux autres programmes de soins tirent leur épingle du jeu avec les cours Soins infirmiers de base et Initiation en soins infirmiers, deux volets du Certificat d’études supérieures en soins infirmiers.

Au total, 1 590 collaborateurs ont suivi en 2021-2022 une formation pouvant les mener à une carrière dans le secteur de la santé.

« Non seulement le congé-formation offre un premier pas vers ce secteur qui manque beaucoup de bras, mais on donne à des personnes qui hésitent depuis un certain temps à travailler dans le secteur de la santé, qui poussent à se former et à franchir le pas. Je suis particulièrement fier que de plus en plus de personnes trouvent le chemin de la formation en soins de santé », déclare le ministre Brouns.

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