Aux stands avec Leclerc et Sainz en attente de la grille de départ


LEpremière émotion dans le « temple de la vitesse » ? Retrouvez en direct Kimi Raikonnen, champion du monde de Formule 1 2007l’un des meilleurs pilotes du monde. Il apparaît dans le paddock, en t-shirt blanc, lunettes noires, avec sa femme Minttu Virtanen et l’un de leurs trois enfants. Il marche sans sourire, on l’appelait « Iceman » – ce n’est pas un hasard. S’il vous plaît, prenez un selfie, je lui demande comme n’importe quelle autre groupie, même si je n’en suis pas une.

J’en ai fait partie pendant un week-end du « cirque » de F1, dans l’une des 24 étapes du grand prix mondialinvité de l’équipe Sky Sport qui m’a donné accès partout dans les coulisses. Cela va sans dire, ça ne sert à rien de le souligner, j’ai bougé comme Alice au pays des merveilles, mais c’est justement pour cela que j’ai pris beaucoup de plaisir à parcourir entre paddocks, pitlanes, paddocks TV, autant d’espaces réservés aux journalistes, professionnels et invités des écuries.

C’était rempli d’adrénaline, comme se réveiller d’un rêve après avoir seulement vu ces personnages distraitement à la télévision.

Charlène de Monaco, enfin souriante : elle est la star du Grand Prix de Formule 1

Formule 1 : qualifications à la médiathèque

Raikonnen n’était qu’une des nombreuses émotions ressenties dans les « coulisses » du Grand Prix de Monza 2024. Car après lui, j’ai rencontré un autre Kimi, un jeune de dix-huit ans qui deviendra bientôt très célèbre, m’ont-ils dit depuis le « contrôle ». « . C’est-à-dire Kimi Andrea Antonelli, le nouveau pilote Mercedes à partir de 2025. Il prendra la place de Lewis Hamilton rejoindra Ferrari l’année prochaine.

Pour me « documenter », j’ai continué à lire Corriere della Sera Que il n’a même pas de permis de conduire, découvrant qu’en F1 il existe d’autres types de « permis »licences ad hoc délivrées par la FIA. Avec ses boucles dépassant sous sa casquette star, il a donné des autographes sur des casquettes et des T-shirts. Veuillez signer ici aussi, ai-je demandé, j’ai fait signer l’accréditation FIA. Je l’offrirai en cadeau à ma nièce Anne-Claire, qui vit aux Pays-Bas, la pair de Kimi, « très jalouse » de mon expérience, m’a-t-elle écrit sur Instagram.

Dans la grille de départ, je peux dire ceci, car j’ai vu les qualifications depuis la médiathèque : 1 – Lando Norris (McLaren), 2 – Oscar Piastri (McLaren), 3 – George Russell (Mercedes), 4 – Charles Leclerc (Ferrari), 5 – Carlos Sainz (Ferrari), 6 – Lewis Hamilton (Mercedes), 7 – Max Verstappen Red Bull.

Entre paddock et pit lane avec la pilote Vicky Piria

Lors des tests de qualification, qui ont duré au total 60 minutes, mais se sont répartis sur trois séancesdans la médiathèque, je me suis retrouvé juste au-dessus des « célèbres » stands, ceux qui sont toujours mentionnés lors des courses par les experts de Formule 1. C’était une coïncidence, mais je négligeais ceux du célèbre Cavallino. Alors j’ai vu Leclerc et Sainz font des arrêts aux stands et changent de pneus, avant de reprendre la piste en trombe dans leurs Ferrari SF-24.

Juste avant les courses, alors que je suivais dans la voie des stands Vicky Piria, la seule pilote professionnelle italienne, talent Sky Sport de cette année, Il m’est arrivé de croiser Leclerc qui a salué le public Cavallino dans les tribunes avant de se peser et de se catapulter dans le cockpit. Il était en chair et en os et je sentais, je dois le dire, vraie émotion pour ce jeune de 26 ans qui défie le son à 300 km/h pour remporter le championnat du monde.

Avant de conduire, il a été pesé. La direction me dit que les pilotes, à cause du stress et d’autres dynamiques, peuvent perdre jusqu’à quatre kilos au cours d’une séance. J’ai alors vu devant moi la déception des fans de Ferrari pour sa quatrième place. J’ai aussi entendu des collègues néerlandais dire « c’est mauvais pour les Ferrari ». Et d’autres, qu’en réalité le Cavallino pourrait réserver des surprises.

Une monoplace conçue par Lego

Formule 1. La reconstitution Lego de la monoplace de Senna

Passionnant aussi reconstitution en Lego de la voiture d’Ayrton Senna, dont cette année marque le trentième anniversaire de sa mort. Il s’agit de la légendaire McLaren MP4/4 de 1988 conduite par le champion, hébergée dans le club-house de l’Automobile Club Milano pendant tout le week-end puis exposée du 2 au 8 septembre au siège de l’ACM, Corso Venezia 43 à Milan.

La voiture a été créée par Riccardo Zangelmi, le seul professionnel italien certifié LEGO avec 400 000 briques, 120 heures de conception et 700 de construction pour 610 kilogrammes de poids.

Les détails en font un objet de collection : une direction fonctionnelle, une suspension à poussoir, un aileron arrière, une plaque avec des chiffres et des statistiques et, enfin, une figurine d’Ayrton Senna. Pour accompagner la réponse, également une fidèle reproduction en brique du casque du légendaire pilote brésilien.

Inutile de dire que c’était le plus photographié.

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