Aux Championnats du monde en petit bassin, Mora remporte l’argent au 200 m dos. Bronze au relais mixte


L’Italie termine avec 9 médailles. Amélioration de 30 records du monde

Journaliste

15 décembre – 20h10 -MILAN

L’Italie remporte les deux dernières médailles aux Championnats du monde de Budapest en petit bassin : une d’argent individuelle au 200 dos, une de bronze en groupe grâce au 4×100 quatre nages masculin. Le total est de 9 médailles lors de la première épreuve post-Paris. Lorenzo Mora remporte l’argent, la huitième médaille italienne aux Championnats du monde en petit bassin à Budapest. Le deuxième plus célèbre de Carpi après Paltrinieri, entraîné par Claudio Rossettto au centre fédéral d’Ostie, atteint 1’48″96 (il possède un record italien de 1’48″43) et conquiert le métal qui lui manquait après les médailles en les 50 et 100. Seul l’olympien local Hubert Kos le bat, auteur du record du championnat en 1’45”65, le Français Tomac remportant le bronze en 1’48″93. Spécialiste du petit bassin, Lollo, 26 ans, est un grand personnage qui essaie toujours et qui remporte régulièrement des médailles depuis trois ans (sa troisième médaille d’argent aux Championnats du monde). Mora dit : “C’était la seule distance où j’ai raté l’argent, je savais qu’aujourd’hui c’était possible. Le premier était inaccessible, il est champion olympique pour une raison. Je suis très heureux, j’espérais faire un peu mieux. Le fait Être un vieux, c’est savoir gérer un peu mieux le bagage émotionnel que les courses amènent. Je me suis amélioré ces dernières années, c’était important de bien finir. Puis Mora lance le 4×100 mixte au bronze de la confirmation de 2022 à Melbourne pour la neuvième médaille de l’expédition (1-5-3) dans une course remportée avec le record du monde par la Russie en 3’18″68 qui renverse les 3 ’18″98 des USA avec Lifintsev 49″31, Prigoda 55″15, Minakov 48″80, Kornev 45″42. Les Américains battus en 3’19″03 (Casas 48″92, Andrew 57″03, Rose 48″55, Alexy 44″53 et devant les auteurs Azzurri en 3’19″91 (Mora 49″53, Viberti 56″15 , Busa 48″81, Miressi 45″42), 4. Pologne 3’21″02.

quel record

Gretchen Walsh est la femme la plus rapide du monde en petit bassin à Budapest : l’Américaine s’est améliorée de 4 cents aux Championnats du monde et a réalisé le dixième record du monde (neuvième personnel, 25e de toute l’épreuve) en atteignant 22″83. sa compatriote Kate Douglass a terminé à 22 centièmes, la Polonaise Kaisa Wasick en bronze à 23”37, sous le podium se trouvait la Britannique Eva Okaro, auteur du record du monde junior à 23”66, sixième place pour la détentrice du record italien Silvia Di Pietro à 23”87 et la septième Sara Curtis (du couloir 8) à 23”87. En demi-finale, Roman, 31 ans, avait regagné le record italien à 23”68, tandis que la dix-huitième année. La vieille de Cuneo s’est poussée plus loin en 23”76. De 19”90 à 0ro en 20”19 : Jordan Crooks se confirme comme le maître du 50 libre messieurs. repoussant le Brésilien Guilherme Santos à 20”57 et l’Américain Jack Alexy à 20”61. “J’ai raté une autre belle opportunité, j’ai fait beaucoup de choses et j’ai aussi beaucoup concouru” : Benny Pilato parle de sa quatrième place au 50 m brasse, laissée sous le podium par l’Américaine Lilly King avec qui il est monté sur le podium pour la première fois fois à Gwangju en grand bassin aux Championnats du monde. Elle avait 14 ans, elle en a désormais presque 20. Dans un virage un peu long, elle a ensuite tout donné dans le sprint final, se retrouvant sous le podium comme à Paris sur 100. Une année 2024 un peu ensorcelée pour la Tarentaise qui est il s’entraîne désormais à Turin. Ruta Meilutyte (Lit) triomphe 28″54, du chinois Tang Qianting 28″86, le bronze de l’Américain est à 28″91, donc Pilato (29″11) rate la médaille de 20 centièmes. Pour six centimes Simone Cerasuolo reste sur le podium comme la Pouilles même si elle s’améliore en 25”62. Le Russe Kirill Prigoda et le Turc Emre Saki prennent l’argent ex aequo à 25”56 qui payent 14 centimes au vainqueur chinois Qin Haiyang, l’or en 25″42. Le sixième avec son record personnel est Ludovico Viberti en 25″71.Regan Smith se confirme comme la dominatrice du dos, améliorant également son record du monde désormais établi à 1’58″04 (précédent 1’58″83) : l’Américaine rejette les ambitions de la Canadienne Summer McIntosh, argent en 1’59” 96, tandis que le bronze revient à la neutre Biélorusse Anastasia Shkurdai en 2’00”56, bois de vingt centièmes à l’autre Américaine Phoebe Bacon.

il confirme

Le 200 m nage libre appartient à nouveau à Siobhan Haughey, détentrice du record du monde depuis 2021 en 1’50″31 : le nageur de Hog Kong s’impose cette fois en 1’50″62 et bat le Canadien Harvey (Can) 1’51″48 et le très talentueuse de 2007 Claire Weinstein (USA, 07) 1’51″62 (record du monde jr) qui quitte le du culot de l’Australienne Lani Pallister (1’51″75) ; la huitième est Sofia Morini qui améliore son record personnel de trois centièmes en 1’54″17. Dans le 4×100 m quatre nages féminin, les États-Unis ont triomphé avec un super quatuor ouvert par Regan Smith, qui a également amélioré le record du monde du 100 dos dans la première fraction, avec Lilly King en brasse, Gretchen Walsh en dauphin (onzième record pour elle) et Kate Douglass en style libre. La Grande-Bretagne et la Chine ont été battues, alors qu’il ne suffisait pas à l’Italie d’améliorer le record italien de la matinée pour la médaille : les Italiens étaient sixièmes avec ce quatuor nageant en 3’50″36 (record italien, auparavant 3’50” Batterie 80, Sara Curtis dos 57″41, Benny Pilato brasse 1’04″30, Elena Capretta dauphin 57″01, Sofia Morini nage libre 51″64). Au total, il y a 30 finales italiennes et 30 records du monde améliorés.





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