Assurance automobile : baisse des primes grâce à la révision des tarifs


Les conducteurs doivent vérifier leur assurance automobile au moins une fois par an. Une évaluation montre qu’un kilométrage inférieur de 30 pour cent peut réduire l’assurance automobile jusqu’à 24 pour cent.

Conduisez moins, payez moins

Le kilométrage annuel a une influence significative sur la prime d’assurance automobile, car celle-ci diminue progressivement à mesure que le kilométrage diminue. Par exemple, si vous ne parcourez que 10 000 kilomètres par an au lieu de 20 000 kilomètres, vous pouvez économiser près de 15 % sur votre prime.
Cela vaut donc la peine de vérifier le kilométrage une fois par an. Certains prestataires demandent le kilométrage actuel à la fin de l’année et compensent le nombre de kilomètres parcourus par le prix de l’année à venir. En revanche, avec d’autres contrats, les conducteurs doivent agir eux-mêmes.

La raison de cette réduction est que les assureurs tiennent compte du kilométrage lors du calcul du prix. Par conséquent, tous les conducteurs doivent indiquer leur kilométrage annuel prévu avant de conclure le contrat. L’utilité d’une inscription tardive dépend de la diminution attendue du kilométrage. La plupart des assureurs ont des seuils au-delà desquels les primes d’assurance changent. Cependant, ceux-ci varient d’un fournisseur à l’autre.

Plus d’options d’épargne

Outre le kilométrage annuel, il existe d’autres moyens de réduire les primes d’assurance automobile.
Les économies sur l’assurance automobile commencent dès l’achat d’une voiture. Non seulement les coûts d’entretien diffèrent selon les modèles, mais le type de véhicule influence également le montant de la prime d’assurance. Les modèles qui causent relativement peu de dégâts et ont de faibles coûts de réparation appartiennent à une classe de types inférieure et donc moins chère.

L’assurance responsabilité civile automobile est obligatoire par la loi et doit donc être prouvée par tous les conducteurs lors de l’immatriculation de la voiture. La situation est toutefois différente pour les assurances casco complète et partielle, qui ne sont pas des assurances obligatoires. Les conducteurs doivent réfléchir à la couverture d’assurance qui leur convient le mieux. Étant donné que l’assurance responsabilité civile ne couvre que les dommages subis par l’autre partie impliquée dans l’accident, une assurance casco partielle ou complète constitue généralement un complément utile. Avec une assurance casco complète, vous êtes généralement paré à toutes les éventualités, même si les primes sont proportionnellement plus élevées. Pour les voitures plus anciennes, une assurance casco partielle peut donc s’avérer intéressante.

Quiconque paie une assurance automobile mensuellement ou semestriellement paie généralement une prime plus élevée que nécessaire. Cela s’explique notamment par le fait que les conducteurs qui paient leur assurance en plusieurs fois causent statistiquement plus de dégâts. Payer annuellement rapporte littéralement avec des économies allant jusqu’à 25 pour cent.

Vous pouvez également économiser sur les primes avec une plaque d’immatriculation saisonnière. Si vous conduisez votre voiture uniquement pendant l’été, vous pouvez économiser de l’argent avec une plaque d’immatriculation comme celle-ci : car conduire pendant sept mois signifie ne payer que sept mois.

Equipe éditoriale finanzen.net



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