Assez de comparaisons : De Zerbi n’est que De Zerbi


Le métier d’entraîneur qui va au-delà de l’équipe formée, les comparaisons constantes, la joie des supporters : un voyage dans l’univers d’un Italien devenu culte hors d’Italie

Il est à la fois naturel et compliqué de parler ou d’écrire sur Roberto De Zerbi. Il existe un risque d’acte partisan. Une situation « de fait » s’est désormais créée autour de cet homme un peu spontané et un peu construit qui a pour toile de fond une prise de position dans le monde et sur les choses. Mais se censurer et ne pas s’attarder sur l’actualité qui vient de ce monde, c’est comme se résigner (jamais, jamais) à la dérive idéologique qui appauvrit le débat sur le football et qui a certainement ôté quelque chose à la compréhension sereine et à l’admiration de chacun. des entraîneurs les plus étudiés et réfléchis qui parcourent les terrains avec une liberté effrontée : voyager sérieusement, quatre championnats différents au cours des cinq dernières années, avec la guerre russe raccourcissant l’expérience à Donetsk.



ttn-fr-4