Assenaar (75 ans) écope de vingt mois de prison pour fornication avec sa petite-fille (6)

Un homme de 75 ans originaire d’Assen a été condamné à vingt mois de prison, dont huit mois avec sursis, pour possession de pédopornographie et fornication avec sa petite-fille. « Mais alors il faut qu’il soit soigné », a déclaré le procureur de la République.

De mai 2020 à janvier de l’année dernière, l’Assenaar se serait rendu coupable d’actes obscènes avec sa petite-fille alors âgée de six ans. Une fois par mois, la fille restait chez ses grands-parents. Elle dormait alors régulièrement dans le lit de grand-père, quand grand-mère dormait dans une autre pièce.

Après des nouvelles d’un cas notoire de fornication de Roder en 2020, la jeune fille a été avertie par sa mère que les gens n’étaient pas autorisés à la toucher n’importe où. Dans cette affaire d’agression sexuelle, un homme de Roden avait abusé d’un enfant de quatre ans.

Après les paroles de sa mère, l’enfant avait fait des déclarations sur son grand-père. Il lui aurait demandé plus d’une fois si elle voulait toucher ses parties génitales. Dans un langage enfantin, elle raconta ce que grand-père lui avait fait et que cela lui faisait mal. Il lui avait également montré des « photos de personnes » sur son ordinateur.

Cela a été suivi d’un rapport à la police. Le grand-père a largement nié les allégations, y compris lors de l’audience. Il a admis que l’enfant avait « accidentellement » vu de la pornographie sur son ordinateur. Un certain nombre d’images contenant du matériel graphique de pornographie juvénile ont également été trouvées sur l’homme.

La fille avait joué avec sa poupée de chiffon quand elle était au lit avec lui, il ne s’était rien passé de plus. « Nous avons juste eu un lien étroit, mais elle fantasme », a-t-il déclaré.

Selon des proches, l’homme peut être qualifié d »oversexed’. Il aurait manifesté un comportement plus transgressif dans le passé. Une fois en état d’ébriété, il a pressé ses organes génitaux dans la main de sa belle-fille.

Peu de temps avant le signalement conscient à la police, les Assenaar avaient demandé aux parents de la fille si l’enfant pouvait venir et rester un week-end. Ce week-end-là, sa femme n’était pas à la maison.

Les parents de la jeune fille réclament 6 000 euros de dommages et intérêts. Le jugement est dans deux semaines.



ttn-fr-41