KAI HAVERTZ et Bukayo Saka ont envoyé Arsenal vers une victoire méritée grâce à leur domination en première mi-temps.
Le Paris Saint-Germain a touché la barre et le poteau alors qu’il s’améliorait après la pause dans ce match de Ligue des Champions.
Mais le chef d’Emirates, Mikel Arteta, sera surtout ravi de la dernière solide prestation de son équipe dans la plus haute compétition de clubs d’Europe.
Voici comment Jordan Davies de SunSport a évalué les Gunners aux Emirats mardi.
DAVID RAYA – 7
Il était peut-être plus occupé qu’il ne l’est habituellement à la maison.
Impuissant, j’ai regardé un effort de Nuno Mendes frapper son deuxième poteau et il est resté ferme pour refuser Achraf Hakimi à son premier poteau.
RICCARDO CALAFIORI – 6
Un spectacle frénétique, qui a eu plus de moments tremblants que de bons. Occupé par Hakimi, il a perdu son rythme à plusieurs reprises mais a bien récupéré.
Une erreur en début de seconde période a failli permettre au PSG de revenir dans le match. Il doit corriger ces erreurs de son jeu, surtout quand il est si dangereux en attaque.
Cependant, il jouait arrière droit pour la première fois de sa carrière après la pause.
GUILLAUME SALIBA – 7
Je n’avais pas grand-chose à faire. Une passe perdue au début aurait pu être coûteuse, mais à part cela, une autre performance fiable et solide.
GABRIEL – 7
J’ai pulvérisé de belles passes en profondeur, mais ce fut une nuit de travail sans stress par rapport à la Premier League.
BOIS JURRIEN – 8
Comment diable Ben White peut-il revenir dans ce côté-là à l’arrière droit ? Une autre démonstration impeccable de la part d’un homme qui semble tout avoir en défense et en attaque.
Eh bien, White pourrait bien avoir sa chance après que Timber ait été remplacé à la mi-temps.
RIZ DÉCLAN – 7
Solide comme un roc et construisant un véritable partenariat avec Partey au milieu de terrain. A eu l’occasion d’avancer juste avant la demi-heure mais sa passe à Saka a été interrompue.
THOMAS PARTEY – 8
Si constant en ce moment, quelque chose que les fans d’Arsenal n’ont pas vu de la part du milieu de terrain ghanéen depuis longtemps en raison principalement d’une blessure.
A réalisé quelques interceptions cruciales et a fait preuve d’un réel sang-froid en jouant en profondeur.
LÉANDRO TROSSARD – 8
L’un des joueurs les plus importants d’Arsenal à l’heure actuelle. Depuis son carton rouge à Man City, il a inscrit un but et une passe décisive – cette dernière ici pour que Havertz ouvre le score avec un centre parfaitement chronométré.
BUKAYO SAKA – 7
Après un premier tir au-dessus de la barre suite à une coupure de marque à l’intérieur, l’international anglais a connu une légère baisse d’influence avant que son coup franc éraflé ne revienne intact depuis l’extérieur.
Pourtant, il a donné à Mendes un moment torride à l’arrière gauche. Même le manager du PSG, Luis Enrique, regardait parfois avec admiration dans sa zone technique.
GABRIEL MARTINELLI – 7
Une soirée tranquille pour le Brésilien après son premier but depuis mars contre Leicester, qui pourrait être dû à un gros accrochage avec Gianluigi Donnarumma dans les premières minutes.
J’aurais dû porter le score à 3-0 avec une volée dans la surface après la pause, mais c’était directement à Donnarumma. Malchanceux de ne pas figurer sur la feuille de match.
KAI HAVERTZ – 9
Courageux et brillant pour sortir de la tête du centre taquin de Trossard, malgré la bosse précipitée que Donnarumma essaie de lui arracher la tête.
J’ai presque obtenu une passe décisive avec un joli lay-up pour Martinelli dans la surface. Le débat attaquant-milieu de terrain devrait être terminé – Havertz est un avant-centre de premier ordre.
SUBS :
JAKUB KIWIOR (BOIS, 45) – 7
Il a fait ce qu’on attendait de lui au poste d’arrière gauche. A produit un bon tacle de récupération sur Kang-in Lee dans la surface.
MIKEL MÉRINOS (PARTEY, 64) – 7
Enfin, un début pour l’Espagnol. Quelques touches soignées sous pression, s’intégrant parfaitement à côté de Rice.
GABRIEL JÉSUS (TROSSARD, 74) – 6
Il avait l’air désespéré d’impressionner après avoir lutté pour les départs jusqu’à présent et cela semble jouer contre lui – les choses ne fonctionnent tout simplement pas.
MYLES LEWIS-SKELLY (SAKA, 92 ans) – N/A