Les Gunners tremblent après le carton rouge de Tomiyasu, mais ramènent les trois points avec un penalty du capitaine
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dchinellato
– Londres
Martin Ødegaard est glacial en convertissant le penalty décisif à la 53e minute. Arsenal est solide en résistant 10 contre 11 pendant la dernière demi-heure, après que Takehiro Tomiyasu a été expulsé pour un deuxième carton jaune à la 67e minute. Et Arteta, quand l’arbitre siffle trois fois après 8′ de temps additionnel, célèbre comme s’il avait remporté un match décisif, pas la deuxième journée de Premier League. Ce sont les moments forts de la soirée à Selhurst Park, celle dans laquelle les Gunners ont battu Crystal Palace 1-0 et ont suivi Brighton et Manchester City, les seules autres équipes avec des points complets après les deux premières journées de Premier League. Arsenal a fait le match mais s’est longuement heurté au splendide mur défensif érigé par Roy Hodgson, le plus vieil entraîneur de l’histoire de la Premier League (76 ans le 9 août) qui avait créé le bon scénario à son Palais pour les défauts. bonne figure contre l’une des puissances de l’Angleterre.
LES CLÉS
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Arsenal est toujours un travail en cours. Il travaille sur le nouveau 3-2-4-1 conçu par Arteta, avec des ajouts estivaux Declan Rice et Kai Havertz (l’autre nouveau, Jurrien Timber, a cassé son ACL lors de son premier match) qui apprennent tous les deux encore comment les Gunners qui le nouveau système de jeu. L’ancien Allemand de Chelsea est celui qui est le plus en difficulté : Arteta lui a une nouvelle fois demandé d’être créatif au milieu de terrain, derrière l’avant-centre Eddie Nketiah (bon pour obtenir le penalty décisif, laissant Sam Johnstone le coucher dans l’un des quelques erreurs dans la défense du Palais), mais Havertz n’a toujours pas trouvé comment faire équipe avec le capitaine Ødegaard. Le meilleur parmi les Gunners a été Thomas Partey, encore fondamental dans le rôle hybride d’arrière droit quand l’équipe défend et de meneur de jeu en attaque. Palace a joué le jeu auquel il était censé jouer : une défense sans fioritures, prudente et ordonnée en première mi-temps. L’expulsion, plus que le penalty, a été le tournant : Arsenal s’est couvert, mais l’équipe de Hodgson, qui avait désormais le match en main, n’a pas été en mesure d’appliquer le même ordre en attaque qu’elle avait en défense. Et il a encaissé sa première défaite de la saison.
LE MATCH
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Nketiah a les deux meilleures chances d’une première mi-temps bloquée, mais d’abord il prend le poteau (29′) puis relance trop le lob face à face avec Johnstone (36′), puis bon aussi sur Ødegaard. Le 0-0 n’a duré que jusqu’à la 53e minute, quand Ødegaard a déplacé Johnstone du point de penalty, auteur de la faute sur Nketiah qui avait convaincu l’arbitre d’accorder le penalty. À la 67e minute, les Gunners étaient tombés à 10 pour le carton rouge de Tomiyasu et peu de temps après, Arteta a été contraint de retirer Martinelli pour insérer Gabriel en défense. Les invités se rapprochent, Hodgson demande à son équipe de prendre le contrôle du match mais les buts ne viennent pas. Et le penalty transformé par le glacial Ødegaard reste la seule différence entre Arsenal et Palace.
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