Arriveront-ils indemnes à la remise des diplômes ?


Lannée scolaire de élèves de Le Collège 7 (ce soir à 21h30 le Raï 2) est presque terminée, et les épreuves à affronter sont nombreuses. Au centre de la cinquième épisode vérifications à mi-parcours accompagnées de moments de loisirs. Cependant, les clashs avec les camarades de classe et surtout avec les enseignants.

Le Collège 7cinquième épisode

Le nouvel épisode du programme Banijay Italia s’annonce plein de surprises pour les deux sections. Le premier, à l’ouverture du nouveau rendez-vous, concerne un appel téléphonique inattendu. Le Collège Regina Margherita d’Anagni reçoit une communication du Ministère de l’Éducation. Les hautes sphères de l’état interviennent pour informer les collègues d’un agréable surprendre.

De toute évidence Le collège ce n’est pas seulement un lieu de divertissement et de divertissement, mais aussi et surtout d’étude. Tous les étudiants ne se révèlent pas à la hauteur des attentes, voire pour certains d’entre eux le risque de rappels et d’échecs est à l’ordre du jour. Voilà donc c’est ça les moins méritants sont mis à l’épreuve. Les lacunes du dernier épisode concernent Alessandro Orlando et Ariadny Sorbello pour la partie A.

En B, en revanche, les élèves peu prometteurs sont Alessia Abruscia, Elisa Angius, Damiano Severoni et Apollinaire Manfredi. Seront-ils capables de passer les vérifications avec succès ? En attendant de savoir ce qui va se passer, Dean Bosisio décide d’organiser un voyage de prix pour les plus méritants. Une fois le seuil de l’internat franchi, les élèves passent une journée au contact de la nature.

Gabriel Rennis de « Il Collegio 7 ». (Raï)

Les garçons aux prises avec le feu de joie

C’est l’occasion de s’immerger dans un nouvel environnement libre, loin du quotidien. Un moment de détente, qui s’ouvre à diverses dynamiques. En effet, les jalousies, les clashs, mais aussi les confessions à cœur ouvert ne manquent pas. En fond, la plus classique des occasions pour ados de tous les temps : un feu de joie.

La septième édition du programme se déroule en 1958. Comme chaque semaine, il y a aussi une page dédiée à l’étude de cette année, avec une attention particulière à l’actualité et aux changements de société. Ainsi, les élèves peuvent entrer encore plus dans le contexte historique, grâce à une immersion dans l’art de Jackson Pollock.

Encore une fois, tout le monde n’est pas intéressé à en savoir plus et la catastrophe est imminente. Entre reproches et punitions, qui sait si un autre étudiant ne risquerait pas un avertissement ou même une expulsion. Après tout, le troisième épisode a vu Victoria Lazzari quitter la scène.

Que s’est-il passé dans les derniers épisodes

Jusqu’à présent, le programme suit le processus des éditions précédentes. C’est-à-dire qu’après l’entrée chargée pour la plupart des étudiants du collégial, maintenant il y a un revirement partiel. Du moins au niveau d’une bonne éducation. La tactique de la carotte et du bâton utilisée par les enseignants commence à porter ses fruits.

Ceux qui sont vraiment intéressés à poursuivre l’expérience peuvent le faire avec un peu d’engagement et de sérieux. De leur côté, les professeurs sont plus indulgents, tout en exigeant respect et discipline. Évidemment, les cas limites ne manquent pas, mais le doyen Bosisio s’en occupe, assignant des ultimatums et craignant l’expulsion de l’internat.

Paolo Bosisio, le doyen de « Il Collegio 7 ». (Raï)

Si au niveau de culture générale ils ressemblent plus à des écoliers qu’à des lycéens – certains d’entre eux sont même proches de la maturité – quelque chose est en train de changer chez l’être humain. Le quatrième épisode, par exemple, a vu se dérouler un moment intéressant qui concernait Marta Maria Ericez.

Le Collège 7 mégaphone d’une génération cherchant à écouter

Dans son thème sur la diversité, assigné par le professeur Andrea Maggi, il écrit : « Je suis d’avis que la combinaison de la diversité et de l’égalité aller un peu pour déterminer réellement ce qu’est la liberté. La liberté réside dans les personnes qui peuvent la ressentir malgré le fait d’être bloquées par le poids de l’être. Je me sens différent devant des gens qui ne connaissent absolument rien à ma réalité et je ne les blâme pas. (…) Je me sens différent dans la diversité et, au fond, ça ne me dérange pas« .

Après quelques questions d’usage, le professeur conclut : « Je suis content d’être content d’être différent. Cela ne doit pas toujours être comme ça. (…) Ce qu’elle veut être ne dépend que d’elle« . Un moment intense, dans lequel un sujet important a été traité avec délicatesse, dont la télévision est encore très peu concernée.

Dans le clip de présentation disponible sur RaiPlay, Erriquez il a dit de lui-même : « Chacun de nous a une identité. Je n’aime pas m’étiqueter. Ma façon de m’habiller ne représente pas mon être féminin ou mon être masculin. Me représente, représente « Erri ». Mon identité de genre est quelque chose que je découvre lentement. J’ai fait une évolution. L’évolution est un développement continu ».

Ici, si Le Collège 7 concentré davantage sur les messages que les étudiants veulent envoyer plutôt que sur les raids, peut-être que cela pourrait agir comme un mégaphone pour la nouvelle génération. Une génération qui n’a souvent besoin que d' »yeux compréhensifs » – comme les a définis Erriquez, en référence au professeur Maggi – pour être entendue, vue et comprise.

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