Arkano rappe sur la classe ouvrière, les masques et la corruption


Arkano n’a pas pris de vacances, et a été l’un des invités de la Sixième Nuit. Là, il a surpris la foule habituelle et la télévision, faisant ce qu’il sait le mieux : rapper.

Le défi a été que les invités lui aient dit un mot sur lequel il a improvisé quelques couplets. Ses improvisations autour de la ville de Quiroga, par exemple, n’étaient pas mauvaises, mais celle de revendiquer le travail de la présentatrice Verónica Sanz au lieu de son sourire, s’est démarquée.

Plus tard, le rappeur a décidé de faire les gros titres de la presse en risquant d’associer le mot « masques » à « corruption » dans ce qui ne pouvait être qu’une allusion à la polémique à la mairie de José Luis Martínez Almeida dans la capitale du pays en raison du niveau élevé de commissions en le cas de Luis Medina Abascal et Alberto Luceño Cerón.

Arkano a rappé : « Sur les masques Arkano gère. Le mot masque est lié à une pandémie. Et le gros problème avec cette situation, c’est qu’on a une autre pandémie : celle de la corruption. Le problème des masques me tue, car il y a beaucoup de masques et ils me disent « d’enlever ça ». Ils le prennent « pour le sac », vous allez voir comment ça coule : s’ils le prennent « pour le sac », voyons qui les fait sortir du trullo ».

Le dernier rap sur le concept de « classe ouvrière » appelait à l’unité de la gauche : « le problème avec la gauche, c’est qu’ils s’entretuent (…) tant de division favorise les patrons / il y a tant de problèmes dans la classe ouvrière, que nous avons d’abord besoin du syndicat pour lutter contre les étrangers».



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