Arib a créé un environnement de travail dangereux à la Chambre, mais il pourrait aussi être « attentif et impliqué »


L’enquête sur l’ancienne présidente de la Chambre, Khadija Arib, révèle un tableau mitigé. D’une part, elle était responsable d’un « environnement de travail socialement dangereux », mais toutes les plaintes anonymes qui lui ont été adressées n’ont pas été confirmées. Elle est également décrite comme « réfléchie et engagée ».



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