Atlanta, Austin, Houston, Salt Lake City, Omaha (Nebraska) et Madison (Wisconsin) vont créer la plus grande ligue professionnelle de volleyball féminin. Parmi les financiers Lindsey Lohan et Kevin Durant, parmi les techniciens Massimo Barbolini, l’actuel adjoint de Velasco à la tête d’Italvolley et voici comment sera structuré le Lovb (League One Volleyball)

Les rêves américains. Bienheureux ceux qui en trouvent toujours de nouveaux. La dernière en date consiste à créer la plus grande ligue professionnelle de volleyball féminin. Eh bien, plus qu’un rêve, c’est déjà une solide réalité. La pré-saison débutera à l’automne. La saison régulière débutera en janvier (le 8) et se terminera en avril, soit 56 matchs au total. Tout est déjà organisé dans les moindres détails. La ligue a annoncé six équipes professionnelles dans autant de villes des États-Unis : Atlanta, Austin, Houston, Salt Lake City, Omaha (Nebraska), Madison (Wisconsin). Mais d’autres envisagent de s’y joindre. Au pays des opportunités, tout se transforme en opportunité, même le volley-ball. Et c’est ainsi qu’est perçue Lovb (League One Volleyball) : le monde des pros s’ajoute au monde des jeunes (déjà une marque consolidée et forte). Elle deviendra la troisième ligue professionnelle de volleyball féminin aux États-Unis avec Athletes Unlimited et la Pro Volleyball Federation. Fondée en 2020, la mission de Lovb est de réinventer l’avenir du volleyball. Le site officiel a quelque chose d’émotionnel et de onirique car il parle de quelque chose qui va bien au-delà du sport. Lovb, lit-on, est « un écosystème de volleyball holistique, du club au professionnel. Nous nous engageons à soutenir le sport du volleyball et tous les athlètes qui y jouent, de manière sans précédent. » Et encore : Lovb « réinvente le futur du volley-ball ».



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