Après un cas présumé d’agression de la circulation par les navires de la mobilité Zwevegem : "La police a pris des photos de mes contusions"


Après un cas présumé d’agression de la circulation par les navires de la mobilité Zwevegem : « La police a pris des photos de mes contusions »

Fin octobre, l’échevin de Mobility a suivi la femme au travail, après qu’elle ne lui ait pas donné la priorité de droite. La femme raconte maintenant son histoire pour la première fois.

Ecchymoses

La victime raconte comment elle a été suivie jusqu’à son travail à Zwevegem : elle ne savait pas que l’homme était un navire. Il est entré dans le vestiaire. « Il m’a poussée contre les placards, le mur et contre l’évier : avec de graves contusions à la clé », raconte celle qui a également porté plainte contre les navires.

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La femme est en incapacité de travail depuis un mois et demi et doit se rendre chez le kinésithérapeute. « Je prends des antidépresseurs et je dois prendre des pilules pour dormir. »

Témoin oculaire

Un autre témoin oculaire raconte comment les navires ont été renversés. « Il était très agressif, parlait néerlandais et français mélangés. Nous pensions qu’il était sous l’influence de l’alcool ou de la drogue.

« Il a appelé la police et a dit qu’il travaillait pour la municipalité. Il voulait qu’on s’excuse. Ce qui était absurde, car il l’avait suivie et attaquée. Selon la femme, elle n’avait en effet pas cédé le passage aux navires par la droite et avait levé la main dans la voiture pour s’excuser.

« Pas battu »

Mardi, Marc Desloovere a affirmé dans notre JT qu’il n’avait pas agressé physiquement la femme. Aujourd’hui, il se réfère à son avocat pour plus de commentaires.

Ce dernier raconte qu’il y a eu une « escarmouche » dans le vestiaire au cours de laquelle « les navires se sont défendus ».

Une enquête est en cours.

REGARDER: « Le parti d’opposition Nu.Zwevegem exige le licenciement des navires après un cas possible d’agression de la circulation » (29/11/2022):



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