Après la dispute télévisée : Rutger Castricum et Sophie Hermans à nouveau face à face


Rutger Castricum a reçu de nombreuses critiques en jouant à nouveau le rôle du journaliste politique adolescent. « Je reparlerai à Sophie Hermans ce matin. »

© SBS, NOS

Il semble que Rutger Castricum ait soudainement utilisé à nouveau son vieux truc : tromper et provoquer des émeutes avec les dirigeants politiques du pays. Cela fait seize ans que feu Ella Vogelaar s’est éloignée silencieusement de son appareil photo et apparemment le journaliste souhaite revenir à cette époque. Un problème : ça paraît un peu déplacé quand on a 45 ans.

Sophie se met en colère

Ces derniers temps, Rutger n’a cessé d’interrompre les politiciens qu’il interviewait en criant « moins, moins, moins », une référence aux déclarations antérieures de Geert Wilders qui sont encore sensibles, même dans la coalition actuelle avec le PVV. Lorsque Rutger fait également cela à la ministre du VVD Sophie Hermans lors d’une conversation sérieuse, elle s’en va. « Oui, maintenant je suis vraiment en colère. »

Il y a eu beaucoup de critiques à l’encontre de Rutger ; Le chef du parti du VVD, Dilan Yesilgöz, l’a également traité très sévèrement. La journaliste d’investigation Kim van Keken : « Oh malheur s’ils ne rient pas d’une blague complètement déplacée : alors ils sont ‘aigres’. Parce que tout le monde doit trouver Rutger drôle. Le présentateur lui-même a ici les orteils les plus longs.

Différentes tactiques

Comme Rutger a un vent contraire si fort, il change de tactique. Au début, il s’est surtout moqué de De Oranjezomer à propos de la façon dont Sophie s’en allait si en colère (« chaque fois que vous pensez : cela n’arrivera plus, et puis cela arrivera encore »), mais après quelques jours de critiques, il en a soudainement fait un question de principe.

Rutger sur X : « L’indignation sélective du VVD sur la photo. Il adhère silencieusement à la déclaration de Wilders « moins, moins, moins » en entrant dans un cabinet avec cette déclaration, mais se met soudain en colère contre une plaisanterie alors que la campagne semble approcher à grands pas. De cette façon, nous connaissons à nouveau le VVD.»

Hypocrite

L’historienne Nadia Bouras trouve Rutger hypocrite. «Ne prétendons pas que Rutger, qui a encouragé la corruption à travers le GeenStijl, se soucie soudainement des Marocains. Il s’agit d’un pur outrage exagéré contre les clics, déguisés en noblesse. Et entre-temps, la déclaration de Wilders est à nouveau partagée sans honte.»

D’ailleurs, elle est d’accord avec la présentatrice sur le contenu, comme elle le montre sur

Plus agréable

Wilfred Genee confronte Rutger à ce sujet dans le Aujourd’hui à l’intérieur d’hier soir. « Vous pouvez aussi être un peu plus gentils les uns envers les autres. Ce que vous avez fait récemment avec Sophie Hermans était-il nécessaire ? Avez-vous répété : je n’aurais pas dû faire ça ?

Rutger : « Non. Je lui parlerai demain matin (aujourd’hui, ndlr), donc je suis curieux.

Wilfred : « Qu’est-ce que c’est ? Que tu redeviendras soudainement ce vieux Rutger ?

Sous stress

Rutger parle ensuite un peu de ce comportement lié à la crise de la quarantaine. « Oui, c’était une blague et vous pouvez gérer cela de différentes manières. Schoof a dû en rire et elle est devenue complètement stressée.

« Ce que j’aime, c’est que c’est un VVD qui entre effectivement dans un cabinet et qui n’a apparemment aucun problème avec cette déclaration de moins en moins et qui est donc aussi en quelque sorte tacitement d’accord avec elle, mais si vous faites ensuite une blague à ce sujet, alors tout d’un coup, le la porte est ouverte. (…) C’est tellement transparent, le VVD, c’est tellement opportuniste.»

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