Après avoir pris un laboratoire médical au Soudan: « Je ne craindrais pas encore une ‘bombe bactérienne’, mais il y a d’autres dangers plus grands », déclare Erika Vlieghe

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) tire la sonnette d’alarme maintenant que l’une des factions belligérantes s’est emparée de l’institut national de la santé de la capitale soudanaise Khartoum. Des virus isolés tels que la poliomyélite et le choléra sont conservés dans ce laboratoire. L’infectiologue Erika Vlieghe (UZ Anvers) explique : « Imaginez que Sciensano n’existe plus tout à coup. »



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